1. La lecture Chapitre 9


    Datte: 22/10/2018, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... - Oui monsieur, je n’avais jamais trompé mon mari jusque là. - Et là tu te rends comptes que tu le trompes de la manière la plus vulgaire qui soit ? - Oui monsieur, mais cela m’est égal, j’ai trop envie de vous. De vous sentir en moi. Vous me rendez folle, je perds tout contrôle. J’ai dit ces mots très vite, sans me rendre compte de leur importance ni du pourquoi de ces questions. Deux fantômes entendent cette confession, deux voyeurs dont je ne connais pas l’identité. Et lui ! Et sans qu’on me le demande, je rajoute. - Je veux bien que d’abord on m’encule. C’est le signal pour l’homme planté derrière moi qui introduit brutalement son index dans mes chairs anales si fragiles mais si offertes. Le doigt tourne, retourne, masse l’intérieur de mon cul. Cela me procure des frissons. Le doigt ressort pour mieux pénétrer à nouveau, mais cette fois il est accompagné d’un autre, plus gros. Tous les deux massent l’intérieur, dilatent l’entrée. Sans plus aucune volonté je m’abandonne. Les deux doigts quittent l’anus et viennent recueillir et se charger de ma mouille qui dégouline de mon vagin. Pas besoin de rentrer, tant elle est abondante. Impossible de renier mon excitation. Je comprends très vite pourquoi. Ils retournent contre mon anus qu’ils pénètrent sans plus aucune difficulté. Ce petit manège se reproduit plusieurs fois. Je sais que mon violeur dilate le conduit pour mieux le violer. - Tu es prête Chantal ? Prête à la saillie ? - Oui, monsieur. Je suis prête. C’est à ce moment ...
    ... que je sens la chaleur et la dureté d’un gland appuyer et forcer l’entrée de mes entrailles. Je me retiens de crier. Le fantôme reste en position, comme dans l’attente d’un signe. Je sens alors ses mains caresser mes fesses, remonter sur mes hanches. Je ne reconnais pas la peau de cette main qui me touche, et j’en conclus que cet homme m’est étranger. Les deux mains glissent dessous, me caressent le ventre puis remontent jusqu’à mes seins qu’elles englobent avec douceur d’abord comme pour en estimer l’élasticité, la fermeté. Cette douceur calme la peur qui m’habite. Elle me rassure et me réconforte dans l’idée que je suis aimée. Mais bien vite la violence remplace la délicatesse. Les mains pétrissent mes nichons ajoutant à mon plaisir. - Prend-là maintenant, elle est chaude. Profite-bien de ma femelle. Elle est à toi. C’est un nouveau coup de poing au ventre que je ressens en entendant ces mots prononcés par mon amour d’aveugle. Mais je l’accepte, je lui suis entièrement soumise. Sans un mot l’homme contre mes fesses, me saisit aux hanches et m’attire à lui. Il va m’enculer. Il vient d’en recevoir l’ordre de mon maître. Le gland que je perçois maintenant dans son volume pousse, presse l’anus déjà quelque peu dilaté par ses doigts. La douleur d’abord accompagne la résistance. Je retiens un cri. Il pousse encore. Alors pour en finir de cette phase douloureuse, j’avance mon corps vers cette bite pour l’aider à me pénétrer. La douleur s’accroit. La pression augmente, je me crispe, ...