L'amour d'un père (14)
Datte: 22/10/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... trop belle quand on te souille, me dit mon frère. Comme si ce n’était pas assez humiliant comme ça, maman et tatie Nancy sortent de leur chambre et débarque dans la pièce. Elles ont manifestement fini de baiser. Elles sont choquées par ce qu’elles voient, mais au lieu d’y mettre un terme, elles finissent par rejoindre Erika pour se masturber avec elle. Les salopes, il n’y a donc personne qui viendra à mon secours ? Rapidement, se masturber ne leur suffisent plus. Elles s’embrassent, se caressent et se lèchent le minou. Après quelques minutes, nos mamans vont même sortir leurs jouets pour baiser toutes les trois. Erika se fait prendre en sandwich avec leurs godes ceintures et hurle sa jouissance. Moi, il ne me faut plus très longtemps pour finir à bout de force. Je ne sais plus où je suis ni à qui sont les bites qui sont en moi. Je ne suis plus qu’une frêle poupée de chair, une machine à jouir au bord de l’évanouissement. Je réagis à peine lorsque je sens que quelqu’un me décharge son sperme en plein de la figure. Je ne sais pas après combien de temps cela a fini par s’arrêter. Je suis à peine consciente. Je me rappelle juste et la vision des filles, ...
... satisfaites, collées l’une à l’autre comme des amoureuses et la voix des garçons qui échangent des remarques salaces sur leur performance. — Putain, je me suis jamais autant vidé les couilles. — Il n’y qu’avec Lily qu’on peut faire des trucs pareils. — Cette petite va me tuer, ce n’est plus de mon âge. Tout le monde est parti, mais je m’endors là, incapable de rejoindre ma chambre. Je me réveille le lendemain sans me rappeler comment je suis arrivé là avant de m’en souvenir en me voyant couverte de sperme séché. Je devrais prendre une douche, mais je suis d’abord trop affamé pour penser à mon hygiène. Je retrouve Maman et Sébastien qui me sourient en voyant mon état. Ils ne me font aucune remarque, comme si c’était un matin comme les autres. Je crois que cela a dû être la soirée la plus intense de ma vie, du moins jusqu’à maintenant. Les garçons ont été brutal, mais je ne peux pas leur en vouloir, ayant moi-même aimé ça. J’aime ma famille, plus que tout au monde, je suis heureuse de vivre avec eux sous le même toit. Le fait qu’on baise tous ensemble renforce notre lien. Nous n’avons jamais été aussi unis, j’espère que cela durera pour toujours. FIN