1. Un couple tabou


    Datte: 22/10/2018, Catégories: Inceste / Tabou Première fois

    Dans la cuisine, au petit matin, je me suis approché d’elle à pas de loup. Maman était déjà en train de préparer le repas du midi, et confectionnait une mayonnaise qu’elle réussissait toujours à la perfection, même quand elle avait ses règles, et ce jour-là, elle les avait, ce que je le sentais à sa façon de toucher son abdomen du bout des doigts, la veille au soir. Cela m’attirait encore plus.Elle me tournait le dos et ne m’a pas entendu, mais elle a senti mon souffle chaud dans son cou. Je ne disais rien et je me gardais bien de la toucher en la regardant tourner le pilon dans le bol et ajouter progressivement l’huile de tournesol. Elle avait quarante-trois ans et avait atteint la grâce parfaite de la maturité féminine. Secrètement, je la désirais depuis longtemps. Son corps tendu de charmes me rendait fou. Je savais qu’elle avait de nombreux amants et que ceux-ci l’emmenaient pour de terribles voyages au pays des luxures adultères que seul mon père ne remarquait pas, ou feignait d’ignorer. Je la voulais pour moi aussi, briser le tabou, goûter au fruit défendu par toutes les morales du monde. Mais, jusqu’à ce jour béni, je n’avais pas osé lui avouer que je ne me masturbais qu’en pensant à elle, quotidiennement, et elle ne m’avait pas encore dit qu’elle se caressait souvent en pensant à moi, et que, même saillie par plusieurs hommes en même temps – elle était amateure de parties fines dans les nuits chaudes du centre-ville – elle pensait encore à l’innocence de mon corps ...
    ... juvénile et puceau qu’elle rêvait d’initier.Après avoir fini sa préparation culinaire, elle a léché son instrument d’une manière explicite : d’abord du bout des lèvres, puis en l’insérant dans sa bouche jusqu’au fond de la gorge. Aucune nausée. À travers le pantalon de mon pyjama, la verge tendue a effleuré ses reins. Ses reins, car je mesurais bien quarante centimètres de plus qu’elle, petit bout de femme au visage de gaité caché derrière de grandes lunettes rondes. Elle a sursauté en percevant le contact de mon membre sous les vêtements, mais elle n’a rien dit. Alors, j’ai insisté. Elle soupirait, immobile, frémissante, sidérée sans doute par l’érotisme de ce moment tabou, comme je l’étais aussi.Elle a relevé sa robe jusque par-dessus ses épaules avant de la laisser choir sur le carrelage, et m’a permis d'abaisser sa culotte noire sur les rails de ses jambes, jusqu’aux chevilles, puis elle a levé un pied après l’autre afin que je la débarrasse de son cache-sexe. Elle ne portait pas de soutien-gorge. Certaines femmes – des hommes aussi, sans doute - portent leur nudité d’une manière empruntée, comme un vêtement trop grand ou trop compliqué, mais la sienne était à la fois naturelle, comme si elle n’avait jamais été vêtue de sa vie, et provocante à m’en couper le souffle. Des odeurs femelles m’ont assailli, radieuses. Des soleils pour mes narines.Hypnotisé par cette vénusté soudain dévoilée, je me suis mis à genoux pour humer la croupe arrondie qui resplendissait sous mes yeux ...
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