1. Un couple tabou


    Datte: 22/10/2018, Catégories: Inceste / Tabou Première fois

    ... éblouis. J’ai pris mon temps pour en découvrir tous les merveilleux détails. Par la fenêtre ouverte, le jour se levait sur un ciel d’azur. L’été de mes dix-huit ans commençait par un moment de sexe insane avec celle qui m’a donné naissance. Elle n’a pas eu besoin de parler pour me dire qu’elle avait une envie folle que je lui suce le derrière et qu’elle s’impatientait : il lui a suffi d’écarter légèrement les jambes tendues et, appuyée sur le plan de travail, de se cambrer pour faire apparaître, entre les globes ronds, son petit orifice à la rosette délicate, comme une bouche impudique qui susurrait avec insistance des mots d’amour obscènes.Jamais encore je n’avais porté mes lèvres à l’anus d’une femme. Progressivement, le petit trou s’élargissait sous l’insistance de ma langue. Il s’y émanait des parfums qui me rendaient fou. Pendant ce temps, elle utilisait son pilon lubrifié de mayonnaise pour se caresser le minou. Je ne voyais pas très bien ce qu’elle faisait, mais il me semblait qu’elle se l’enfonçait dans le vagin jusqu’au point de le faire disparaître complètement, puis elle poussait sur ses muscles pelviens pour qu’il ressorte, et ainsi de suite.Ses jambes ont commencé à trembler. D’abord, elle soupirait, puis elle gémissait, de plus en plus bruyamment. J’ai eu peur qu’elle éveille ma sœur ou mon père. Mais, dans la cuisine, seul le soleil levant assistait à nos ébats tabous. Ma langue roulée en cylindre se glissait à l’intérieur du conduit rectal sur toute la ...
    ... longueur disponible. Je sentais bien qu’elle voulait plus.Toute ma chair mâle lui était offerte. J’ai abaissé mon pyjama, et fourré mon pieu tout moite de rosée dans le trou maternel. Il est entré sans difficulté, avalé d’un seul coup de reins. Maman s’est penchée en avant et a écarté plus largement ses jambes afin de me laisser la foutre jusqu’à la limite anatomique de mes possibilités. La chair humide s’ouvrait sur mon passage comme la mer Rouge pour permettre l’avancée du peuple de Moïse. Je lui ai attrapé les deux seins en même temps, les mamelles rondes qui m’ont nourries, et je les ai pétries comme des pains de joies, sans ménagement, en sentant sous mes doigts les tétons se durcir.D’abord, elle a pris un bol qui trainait sur le plan de travail, un bol vide et propre, et elle a retiré brusquement le pilon pour approcher le récipient de sa vulve. Tout d’un coup, elle a éjaculé avec abondance son nectar incolore ; je n’en revenais pas qu’une femme puisse en émettre autant : jusqu’à remplir le calice de sa sécrétion dans un flot jaillissant comme une source claire. Elle a basculé sa tête en arrière, et elle a joui dans un râle de mourante. Je n’en revenais pas d’avoir su mener Maman jusqu’à l’extase dès la première fois – car il y en a eu beaucoup d’autres par la suite.Maman s’est retournée, souriante. Elle m’a tendu sa bolée éjaculatoire. La mouille était mêlée de sang menstruel. J’ai tout bu. C’était amer, salé, odorant, délicieux. Le nectar des dieux.J’en voulais encore. ...