Mésaventure n° 1 (1)
Datte: 22/10/2018,
Catégories:
Trash,
... une pancarte où il était indiqué "tournage", et j’arrive, au détour d’un couloir, à une porte que j’entrouvris très doucement. Et la, quelle ne fut pas ma surprise..... Par le petit espace, j’y aperçu, assis sur un divan, un colosse blanc à la mâchoire carrée, cheveux blonds coupés en brosse, nu, les bras tellement écartés qu’il aurait pu toucher le sol. Entre ses cuisses, une femme menue, brune, lui administrait une fellation avec rigueur et discipline. Toujours dans l’entrebâillement de la porte, j’ai assisté, estomaquée, à la scène. À la fois stupéfaite, mais aussi fascinée par cette pipe parfaite. C’est que cette femme savait y faire. Du peu que je la voyais, elle maniait le sexe de son partenaire d’une main de maître. Sa main gauche entourait laverge, et sa bouche, placée juste au dessus, montait et descendait tout le long de la colonne de chair. Je distinguais aussi sa main droite, placée sous le fessier de l’homme, sûrement occupée à lui glisser un doigt dans l’anus pour augmenter son plaisir. Mais aussi le mien. Je ne sais pas pourquoi, mais cette situation, brute, à la limite de la vulgarité, m’a excitée au plus haut point. Je sentais que maculotte trahissait mon émoi..... Puis, après de longues minutes de ce traitement, lorsque l’on sentit l’homme sur le point de jouir, il se contracta en s’agrippant au divan comme pour s’empêcher de s’envoler. Mais sa partenaire savait y faire, et elle l’amena à lajouissance ; il était à sa merci, et éjacula tout au fond de sa ...
... gorge. C’est là que, sur ma droite, j’entendis quelqu’un s’adresser au couple : — C’est bien Britany chérie, maintenant tu avale tout, face caméra. Ma tête pivota d’un quart de tour et je remarqua toute une équipe de production : caméraman, cadreur, perchiste, etc, ainsi qu’un homme au crâne dégarni, sur une chaise, qui devait être le réalisateur. Je remarqua aussi l’ensemble du décor de cette scène : un bureau de style Ikea, avec des plaques de bois peintes et décorées à la va-vite faisant office de murs. Mon attention avait été plus que subjuguée par l’acte sexuel en tant que tel, et je réalisais que je venais de tomber en plein dans le tournage d’un film pornographique. — Excusez moi. Vous êtes ? La voix, venant de derrière moi, me fit sursauter. J’en fis tomber mes sacs ! Je me suis retournée et était plantée devant moi une femme, la quarantaine, un casque sur les oreilles et un plateau dans les mains avec de nombreux cafés. — Qui êtes vous ? répéta t-elle, d’une voix autoritaire. Si vous n’êtes pas de l’équipe de tournage, je vous demanderai de bien vouloir quitter les lieux. Elle avait élevé la voix, et presque toute l’équipe l’avait entendue et s’était tournée vers la porte. — C’est quoi ce bordel ? demanda le réalisateur (je savais que c’était lui rien qu’à l’intonation de sa voix). — C’est une petite voyeuse, lui répondit la femme, tout en me poussant dans le studio. — N... non non ! Je suis Mélanie, la coiffeuse maquilleuse, dis je d’une voix faiblarde. Le réalisateur ...