1. Le Bijoutier du Pont-Neuf


    Datte: 23/10/2018, Catégories: fh, Masturbation intermast, 69, historique,

    ... fesses fraîches, mais tu as mis le feu à mon petit panier ; je te l’offre, prend-le ! Genève n’est pas homme à se faire prier et obéit de bonne grâce, mais calcule ses effets. Son index glisse vers le sexe offert, viens titiller le bord de la fente inondée mais bifurque sur son contour. Le majeur entre en jeu, l’homme effleure les abords des grandes lèvres gonflées, ces deux doigts écartés montent et redescendent rives droite et gauche, dessinent l’ovale de l’abricot. Avec une lenteur exaspérante, les doigts resserrent leur V et escaladent peu à peu le renflement des lèvres. Fantine relève la croupe, écarte encore ses cuisses, finit par coucher un genou sur la table, désireuse qu’elle est de s’ouvrir toute entière. Elle n’en peut plus d’attendre, ses seins gonflés de désir pointent leurs tétons durcis, son entrejambe la brûle comme jamais. Elle, qui n’a connu que les étreintes brutales de son défunt mari ou les caresses maladroites d’amants expéditifs, se délecte de cette douceur nouvelle. Fantine découvre le désir, la lente et progressive ascension vers le plaisir. Elle voudrait sentir un doigt sur son bouton, elle serait prête à exiger de l’homme qu’il fouille sa caverne, mais sent confusément qu’il lui vaut mieux s’abandonner, se délecter de chacune des caresses prodiguées, que son plaisir n’en sera que plus fort. Et de fait, lorsqu’un doigt ose enfin s’aventurer dans le frisottis des petites lèvres, Fantine sursaute, traversée qu’elle est par des frissons qui provoquent ...
    ... aux tréfonds d’elle-même une chaleur subite et un nouvel afflux de mouille. Ce doigt qui semble vouloir doucement lisser les plis de son sexe déclenche des vagues de plaisir qui la parcourt de la tête aux pieds avant de refluer au centre de sa chatte. Tendue au maximum, Fantine s’effrondre sur le plateau de la table lorsque le doigt effleure enfin son petit bouton durci : incapable de résister plus avant, elle ahane, souffle, geint sous ses doigts habiles qui font tourner son bouton, plongent précipitamment dans sa fente, griffent la voûte granuleuse de son sexe avant de repartir à l’assaut de son petit champignon. Les mouvements se précipitent, la main s’alourdit, les doigts la martyrisent alors que des vagues de plaisir enflent, la secouent, l’anéantissent, l’effondrent, toujours plus fort. Son visage plaqué sur la table subit les rugosités du bois, son front cogne sans qu’elle puisse rien y faire. Et puis, tout à coup, brutalement, Fantine se redresse sur ses mains, se bloque, la tête en avant, les muscles du cou tendus, les yeux écarquillés, la bouche ouverte, souffle coupé : plus rien n’existe alors, ni l’auberge, ni le monde, ni la vie, ni l’homme à ses côtés, ni même les doigts profondément enfoncés dans son sexe. Si, peut-être quand même, ces doigts, désormais immobiles : la jeune femme les guette, attend, espère et redoute. Et lorsqu’après une éternité, ces doigts s’animent, s’enfoncent plus avant, la jeune femme explose, hurle son bonheur sans ressentir désormais ...
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