Le Bijoutier du Pont-Neuf
Datte: 23/10/2018,
Catégories:
fh,
Masturbation
intermast,
69,
historique,
... autre chose que l’immense cataclysme qui la transporte, la chamboule, la disloque, l’explose dans l’éther. L’instant se prolonge, s’éternise, se fige, Fantine ne sait plus rien, ne sent plus rien, elle n’est plus qu’un diamant éblouissant de bonheur … La chambrette est sordide. Deux barriques de mauvais vins distillent une odeur acide qui se mélange à celle du salpêtre qui fleurit sur la chaux des murs nus. Un lit, ou plus un grabat occupe un angle du réduit. Au moins les draps sont-ils propres et l’oreiller moelleux. Fantine après un interlude de caresses et de baisers enflammés a désigné la couche où Genève s’est allongé, tout habillé. Debout devant lui, dans la lueur tremblante des chandelles, la soubrette entreprend de se déshabiller. Dénouant sa ceinture, elle fait glisser de concert jupe et jupons sur ses hanches étroites, dévoile lentement la toison sombre de son mont-de-Vénus, découvre le buisson avant de le masquer par ses mains en conque lorsque ses vêtement tombent au sol. Les mains cachent et protègent son sexe encore sensible et enflammé par les caresses puissantes de son nouvel amant, puis s’animent dans le ria encore humide, flattent les contours de la motte. La jeune femme se caresse, se branle doucement d’abord, ses cuisses s’écartent et les mains se pressent et s’activent, en prenant soin toute fois de ne pas trop dévoiler son petit trésor. Puis, oubliant toute décence, Fantine se branle vaillamment devant l’homme allongé, ses doigts plongent ...
... alternativement dans la grotte, titillent la fente, agacent le bouton sensible. Un doigt, puis deux, puis trois enfin fouillent le sexe écartelé, au grand bonheur de l’homme allongé qui n’a pas tardé à libérer son sexe qui se dresse impatient. Fantine jauge l’appareil : rien d’extravagant ou d’étonnant dans ce pieu découvert. La jeune femme sourit en se remémorant les légendes flatteuses concernant le sexe des chauves. La bête n’a rien d’épouvantant, le loup pourra entrer dans la bergerie sans fracas. Mais la verge est bien droite, les couilles ramassées, et le gland bien découvert tremblote d’excitation. Conservant ses doigts enfermés au plus profond d’elle-même, Fantine utilise sa main gauche pour trousser sa chemise, dénude son ventre et dévoile juste l’arrondi de sa poitrine. Glissant la main sous l’étoffe, elle caresse son sein droit, délicatement, consciente de la douceur excitante émanant du mouvement alterné de ces caresses opposées sur son sexe et son sein. Puis, pivotant sur elle-même, Fantine présente son dos et son cul au regard de l’homme, se débarrasse de son corsage, répartit la masse de ses longs cheveux noirs sur son buste, place ses mains en coquillage sur ses petits seins avant de se retourner à nouveau. Immobile, elle observe Genève, apprécie son sourire satisfait, voit son regard plonger entre ses cuisses, examiner le frisottis de son sexe épanoui, remonter vers le ventre et les seins dissimulés. Bonne fille, la jeune femme découvre alors ses petits seins laiteux et ...