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Valérie
Datte: 23/10/2018, Catégories: ff, enceinte, intermast, Oral 69, init, confession, Lesbienne
... je voudrais que nous continuions à nous voir mais je voudrais aussi que nous n’ayons plus de… relations.— Ah ! Bien, merci d’être franche.— Tu es déçue.— Oui… un peu, j’avoue. D’un autre côté, je n’ai pas le droit de t’en vouloir. Tu as peut-être raison.— Tu es sympa. À partir de cette conversation, nous sommes redevenues de simples amies sans aucune allusion, connotation ou tentation sexuelle entre nous. Notre complicité en prit un coup. Évidemment, je ne découchais plus, ce que ne manqua pas de remarquer Betty qui me demanda si j’avais toujours mon « boy-friend ». Je ne répondis pas à sa question la laissant libre d’interpréter mon silence à sa guise. En anglaise bien élevée, elle n’insista pas. Mes rencontres avec Valérie se sont espacées et je passais de plus en plus souvent mon temps libre sans elle. Je recommençais à fréquenter le pub où nous nous étions rencontrées et où je n’étais pratiquement plus retournée depuis. Quand je la voyais, je remarquais à chaque fois les transformations de son corps mais je ne trouvais pas en elle la femme enceinte radieuse que j’espérais voir. Elle était taciturne et semblait soucieuse ; pourtant sa grossesse semblait bien se passer. Un après-midi, alors que j’étais allée chez elle presque à contrecœur, je finis par aborder ce sujet. Elle m’expliqua que Stephen qui n’avait jamais été un mari très entreprenant était devenu totalement froid depuis qu’elle était enceinte. Elle avait espéré que cet événement les rapprocherait et c’est une ...
... des raisons pour lesquelles elle avait voulu mettre fin à nos rapports. Il n’en était rien. Elle était de plus en plus souvent seule et, quand il était là, son mari se désintéressait totalement d’elle. Il ne la touchait plus alors qu’elle n’en avait jamais eu autant envie. En disant cela, les larmes montèrent dans ses yeux et elle chercha à détourner le regard. Je la pris par le menton et je plantai mes yeux dans les siens. — Je suis toujours là, moi. Elle ne put retenir ses larmes et m’étreignit en sanglotant. Je sentis à quel point son corps s’était transformé en quelques mois. Sa taille fine, son ventre plat et ses petits seins avaient fait place à des hanches larges, à un abdomen bien rebondi et à une poitrine opulente. — Tu es vraiment une amie géniale. J’ai de la chance de t’avoir, me dit-elle. Elle chercha mes lèvres. Je lui rendis fougueusement son baiser. Elle portait une ample robe de grossesse écossaise à col blanc et rond des plus classiques. Il me fut facile de glisser ma main en dessous et de remonter jusqu’à ses seins. Au toucher, je remarquais qu’elle ne portait plus ses jolis sous-vêtements de fine dentelle mais de grosses pièces en épais coton extensible. J’eus un mal fou à dégrafer son soutien-gorge mais je fus récompensée de mes efforts. Ses seins avaient grossi et étaient devenus plus sensibles aux caresses. Je ne m’y attardais pas. La taille de sa culotte était bien trop haute et trop ajustée pour que je puisse atteindre son sexe par cette voie. C’est en ...