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Valérie
Datte: 23/10/2018, Catégories: ff, enceinte, intermast, Oral 69, init, confession, Lesbienne
... aimer. Je la sentis s’abandonner à moi dans la chaleur de l’eau qui ruisselait sur nos corps. Je me plaquais sur son dos, d’une main je caressais ses seins et de l’autre je la masturbais. Je sentais qu’elle appréciait ce que je lui faisais. Elle se trémoussait, ses fesses frottaient contre mon ventre et mes seins frottaient contre son dos. Elle poussait sur ses bras pour en accentuer la pression. Ses soupirs se firent de plus en plus sonores ma main délaissa ses seins pour s’occuper de mon propre sexe. Je voulais jouir avec elle mais elle partit avant moi. Je la laissais reprendre ses esprits en continuant de me toucher. Lorsqu’elle s’en rendit compte, elle s’agenouilla dans le bac et écarta ma main que sa bouche vint remplacer sur mon sexe. Je ne fus pas longue à jouir à mon tour. — Avec toi, je fais des choses dont je ne soupçonnais même pas l’existence, me dit-elle en se relevant.— Je t’en ferai encore découvrir d’autres. Un long et tendre baiser conclut cette toilette commune. Elle voulut me prêter des sous-vêtements mais ils étaient un peu petits et j’ai dû passer chez moi pour me changer. J’en profitais pour laisser un mot à Betty lui expliquant que tout allait bien pour moi qu’elle ne devait pas s’inquiéter de mon absence si elle se prolongeait un peu. Valérie et moi avons passé trois nuits de suite chez elle. Arriva le jour du retour de son mari. Elle semblait nerveuse. Je lui ai demandé si elle désirait que je parte avant qu’il arrive. — Je ne sais pas. Tout ça ...
... est si nouveau pour moi. Je ne veux pas que tu partes mais… en fait… je ne voudrais pas qu’il sache pour nous.— Écoute, je ne suis pas là pour briser ton couple. Tu peux me faire confiance, je ne dirai jamais rien à ton mari. Si c’est ce que tu veux, pour lui, je suis simplement une amie.— Merci de me comprendre. Elle parut soulagée et se jeta dans mes bras. Je l’embrassai et je partis avant le retour de Stephen. Le soir j’eus droit aux sous-entendus de Betty et Andrew sur mon « boy-friend ». Ils n’avaient pas fait le rapprochement entre le coup de fil de cette fille prénommée Valérie et le fait que j’aie découché les trois nuits suivantes. Je pris leurs plaisanteries avec une bonne humeur un peu forcée et je trouvai vite un prétexte pour aller m’isoler dans ma chambre. Dans les jours qui suivirent Valérie me téléphona souvent et, m’invita à dîner chez elle. Elle avait expliqué à son mari qu’elle voulait que nous fassions mieux connaissance. J’appréciais cette marque de confiance. Au téléphone, elle avait ajouté qu’elle avait quelque chose d’important à me dire. J’étais assise dans son canapé quand Stephen arriva. En anglais, bien élevé qu’il était, il me serra la main et échangea quelques phrases avec moi. Il me laissa ensuite à la conversation de Valérie pour aller s’installer à la table du salon avec une pile de documents qui absorbaient toute son attention. — Tu vois, à part les dix minutes qu’il va prendre pour dîner, ça va être comme ça toute la soirée, me dit Valérie à ...