1. Clarisse remonte le temps (1)


    Datte: 23/10/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... dans le dos, est forcée de l’enjamber à une extrémité. C’est sur la pointe des pieds qu’elle doit avancer, aidée en cela par les coups de martinets qu’un aide bourreau assène sur ses fesses. La corde a été enduite de mélasse pimentée. Quand le sexe de Clarisse arrive au niveau du premier nœud on voit ses grandes lèvres s’écarter le la corde grasse s’immiscer dans sa vulve. Elle tente de faire machine arrière mais les coups redoublent. La traversée de la pièce dure plusieurs minutes. La vieille chancelle, les muscles de ses cuisses tremblent et elle pleure abondamment. La peau de son dos est striée de zébrures rougeâtres. Ayant atteint son but elle s’effondre dans les pognes de ses geôliers. * [Là, il fallut de la vaseline et un peu de confiture pour la corde. Les lanières en caoutchouc souple du martinet avaient été préalablement enduites de rouge à lèvres carmin, ce qui créa des traces du meilleur effet.] Toujours pas d’aveu lors de la troisième comparution et donc retour à la question. Cette fois-ci, Clarisse apparaît, pieds et poings liés sur une croix de Saint André , face contre terre, la croix pendue à deux mètres du sol, retenue au plafond par une poulie qui la laisse tourner sur elle-même en cas de mouvement de la captive. Un brasero brûle sous elle. Un des acolytes s’approche, saisit une torche et la promène sur le corps de la fille, qui se tortille dans tous les sens en hurlant. La flamme lèche successivement la poitrine, le ventre puis les cuisses, va et vient. Sur ...
    ... un signe de l’inquisiteur, l’homme s’arrête. Son camarade a saisit de longues pinces à bout plats et les pose dans le foyer. Une fois chauffées, sous l’œil complaisant du moine, le tortionnaire écrase successivement les deux tétons de la malheureuse qui perd conscience. Des traces noires et rouges, épaisses, marquent les mamelons. Un seau d’eau pour la réanimer et l’opération reprend sur l’intérieur des cuisses, puis la vulve de Clarisse. L’officiant éprouve un malin plaisir à vriller son outil, tordant les grandes lèvres de la vielle dans tous les sens. Nouvel évanouissement. C’est un S majuscule, soudé au bout d’un tisonnier, rougi par les flammes, que le bourreau brandit pour ce dernier supplice. Celui qui va marquer la captive dans sa chair, la désignant à la populace comme la sorcière qu’elle refuse d’être. Lentement le fer incandescent s’approche de l’épaule gauche puis s’enfonce au dessus du maigre sein. Léger crépitement, fumée âcre, le métal se retire et laisse voir une plaie profonde et violacée. Clarisse urine tout son saoul et s’évanouit à nouveau. *[Les scènes où les pinces rentrent en contact avec les chairs de Clarisse furent réalisées bien entendu "à froid". Pour le marquage, un moulage large en latex du sein de Clarisse fut réalisé et c’est celui-ci qui hérita du fer brûlant. Les stigmates sur le corps de Clarisse furent réalisés au maquillage dans les deux cas.] Après une dernière entrevue, les juges n’arrivant toujours pas à décider Clarisse, finissent par ...