Journal de Cassandre d'Aubignac
Datte: 04/08/2017,
Catégories:
ffh,
jeunes,
bizarre,
Oral
pénétratio,
fantastiqu,
ecriv_f,
... revers de ma cuisse. Je sursautai, mais étais impatiente. Aussi ne pouvant plus attendre, je vins saisir sa main et, dans un vif élan, enfonçai son index et son majeur en moi, au plus profond que je pus. Lâchant sa dextre, mon plaisir allait en crescendo, elle titillait toutes les parois de mon intimité. Percevant que j’allais atteindre le point paroxystique du bien-être, elle retira ses doigts pour me jeter d’un mouvement ample sur le lit. Elle se dirigea vers l’homme, puis se baissa pour lui murmurer quelques mots qui me furent imperceptibles. Cet angle me permit de voir le verso de sa tenue. L’étrange matière venait se glisser entre ses fesses rebondies et mes mains se dirigèrent instinctivement vers mon bas-ventre. Ma tentative fut vaine car, en une fraction de seconde, elle était sur le lit, à mes côtés, de même que l’homme. Tous deux rampèrent vers moi et leurs mains agiles me défirent bientôt des vêtements qui me restaient. L’homme était à présent intégralement nu, tout comme moi, la matière semblait l’avoir quitté en une fraction de seconde. La femme, elle, était à l’extrémité du lit, les jambes écartées et les mains pinçant ses tétons tendus. Prenant cela comme une demande, je m’avançai vers elle, à ...
... quatre pattes, ma poitrine frôlant les draps de soie. Au contact de mes doigts, le tissu mystérieux disparut et ma langue se dirigea seule vers son sexe. Tandis que je parcourais ses lèvres humides, que je les suçais, engouffrais ma langue en elle, l’homme s’approcha. Je pus sentir bientôt son membre ferme sur mes fesses. Il me pénétra alors, brutalement et entreprit des mouvements de va-et-vient féroces et rapides. Je léchai frénétiquement l’entrejambe de la femme. Elle laissait de temps à autre s’échapper des cris stridents de contentement, tout en étant guidée par la cadence de l’homme. Ce dernier saisit mon ventre, et, sans s’arrêter, me redressa contre lui, ses mains venant exciter mon clitoris. La démone s’était rapprochée et câlinait mes seins à présent. Mes mains vinrent trouver ses fesses, que je malaxai sans réserve. La douceur des caresses de la femme et la bestialité de l’homme me procuraient un plaisir fabuleux. Tant et si bien que je sentais ne plus pouvoir tenir longtemps. Je me mordis la lèvre inférieure jusqu’au sang et, enfin, me résignai à lâcher un gémissement. Je retombai sur mon lit, yeux fermés, mon vagin se contractant. Quand je les rouvris, mes amants avaient disparu et la fenêtre était ouverte.