Ma déesse black
Datte: 24/10/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
couleurs,
extracon,
hépilé,
Oral
préservati,
Quelques regards croisés, furtifs puis appuyés… Le magnétisme entre ses yeux de biche et mes yeux bleus devenait terrible. Je m’appelle Maxime, 40 ans, brun, divorcé et un tantinet épicurien. Depuis mon adolescence, un de mes fantasmes était de faire l’amour avec une femme black. Attirance pour cette peau de couleur, cette peau de soie recouvrant souvent un corps racé et élancé… Cependant, à mon âge, on a déjà appris que les plus beaux fantasmes ne se réalisent que trop rarement. Mais un soir… Elle est belle, attirante, souriante, avec un corps de rêve. Je lui donne entre 25 et 30 ans. —Trop jeune pour moi, me dis-je, à l’instant où je l’admire ! Soudain, les yeux de biches me fixent et d’un pas élancé se dirigent vers moi. Je descends de mon podium où j’effectuais des réglages de lumière dans le cadre d’un évènement pour mon client, dont elle me parait être l’une des salariées. — Voulez-vous un plateau repas ? Il nous en reste, me demande-t-elle. Sans réfléchir, je lui réponds en plaisantant : — Volontiers, mais à une condition : je vous donne mon numéro de téléphone et vous m’appellerez quand vous le souhaiterez ! Elle me sourit, un peu surprise, hésite puis me dit : — Peut-être… Durant l’évènement nos regards et sourires ont continué à se croiser souvent, troublant parfois mon travail. Quelques jours après, elle me téléphona pour me demander si j’allais bien, d’une voix timide. Je lui proposai de prendre un thé ou autre chose, ayant appris que nous n’habitions qu’à ...
... quelques kilomètres l’un de l’autre. À la fois heureux et excité mais aussi confus vis-à-vis de ma femme, je me rendis au rendez-vous. Elle était splendide, face à moi devant nos tasses de thé, à discuter de choses et d’autres, de nos métiers. J’appris qu’elle s’appelait Sophiame, d’origine de Côte d’Ivoire par ses parents qui travaillent à l’ambassade du même pays en France. Elle a un petit ami de même origine, Sam, mais vit seule et possède un petit appartement proche d’ici. Je lui fis part que j’étais divorcé et libre comme l’air. Je buvais ses paroles, ne la quittais pas des yeux et sentais mon sexe comprimé depuis le début dans mon « shorty ». Le thé terminé, je n’osais lui demander si on pouvait se revoir mais par bonheur elle me confia son adresse Internet afin de rester en contact. Chaque jour nous correspondions et les messages devenaient de plus en plus intimes. Elle savait qu’elle me plaisait et m’indiqua qu’elle rêvait de sortir un jour avec un homme mûr de couleur blanche. Lors du dernier message, je lui avais demandé de me laisser m’occuper d’elle sans qu’elle me touche, pour notre prochain rendez-vous, ce qu’elle accepta. J’entrai dans son appartement, un deux-pièces superbement décoré. Elle portait un chemisier et un jean. Il faisait sombre et je la priai de rester debout. Elle se laissa déshabiller doucement jusqu’à se retrouver avec ses dessous : un soutien-gorge en dentelle, comprimant une magnifique poitrine, laissant imaginer des seins pointus et fermes. ...