1. Ma déesse black


    Datte: 24/10/2018, Catégories: fh, hplusag, couleurs, extracon, hépilé, Oral préservati,

    ... Immobile, je tournais autour pour l’admirer. Rarement, j’avais éprouvé une telle excitation. J’ai un sexe de taille normale, ni gros ni petit, mais j’avais l’impression qu’il avait triplé de volume. En bas, elle portait un string assorti, cachant peu ses fesses extraordinairement bien proportionnées. Je me plaçai derrière elle, puis dégrafai son soutien-gorge libérant sa belle poitrine : deux obus dont j’allais m’occuper avec délice ! Doucement, je baissai son string. Sophiame ne bougeait toujours pas mais sa respiration s’accélérait. J’étais toujours placé derrière elle, goutant avec ma langue toute sa peau, son dos, ses mollets, ses cuisses pour enfin atteindre ses globes rebondis. Ma langue virevoltait et je la couvrais de petits bisous. Elle me disait qu’elle aimait beaucoup ma façon de faire et ma douceur. J’étais toujours habillé, alors, je l’ai invitée à s’allonger sur le ventre, sur son lit, ses jambes en dehors lui disant que je n’avais pas terminé mes caresses. Pendant ce temps, je me déshabillai entièrement libérant ma bite raide, gonflée à bloc avec mon gland que je n’avais jamais vu aussi épais. À genoux, je continuai à explorer plus précisément son corps, m’attardant sur ses lèvres intimes trempées, faisant des allers et retours entre celles-ci et sa rosette de rêve. Aujourd’hui, je n’oserais pas la prendre par cette voie mais j’en rêvais déjà ! Sophiame se laissait faire, gémissante, surtout lorsque je tétais son petit bouton gonflé. Je la retournai, ...
    ... découvrant enfin son corps de face et son regard magique puis continuai à la lécher partout, insistant sur son sexe jusqu’à ce qu’elle jouisse avec un long râle, ses mains tenant ma tête. C’est ainsi qu’elle me toucha pour la première fois ! Elle se redressa sur ses coudes et me dit : — Montre-moi ton sexe ! Restant debout, elle contempla mon excitation pendant quelques instants. — Je la veux en moi ! Tel un ordre, j’enfilai un préservatif, baladai ma bite sur ses petites lèvres et son clitoris jusqu’à la pénétrer doucement. Elle était tellement trempée que j’eus l’impression de glisser dans un gant de velours, pendant que j’entreprenais de sucer ses pointes de seins bandés, eux aussi à mort. Je la retournai et entrepris de la prendre en levrette, admirant au passage son magnifique cul et sa rosette, me disant qu’il faudrait que je la prenne une prochaine fois par ce petit trou. J’y glissai un doigt mouillé, mais elle me l’écarta doucement. Sa deuxième jouissance arriva, je n’en pouvais plus, lâchant mon jus et tremblant de plaisir. Nous nous écroulâmes tout en continuant à caresser nos corps de nos quatre mains. Sophiame souriait et m’avoua que jamais un homme ne s’était occupé d’elle ainsi. Notre conversation continuait sur le sexe pendant que nos corps se reposaient. Elle m’avoua qu’elle n’avait jamais voulu être sodomisée par crainte d’avoir mal et refusait ce privilège à son ami Sam, ce qui fâchait celui-ci en égard à la taille conséquente de sa queue. Mais avec la mienne, plus ...