Après le soir pas comme les autres
Datte: 24/10/2018,
Catégories:
fhh,
couple,
couplus,
copains,
intermast,
jeu,
couple+h,
Masturbation
jeux,
... balançaient…— Pas du tout. T’es OK pour remettre ça, alors ?— Tu peux toujours rêver ! Je pars alors dans un éclat de rire et nous nous embrassons. Ce qui fut pendant longtemps un fantasme vient de se réaliser. À priori notre couple va bien et rien de fondamental n’a changé. Je me demande maintenant quand nous allons pouvoir remettre ça, Sylvie n’étant pas des plus claires. En effet, la prochaine fois que je vais dire à Sylvie que Vincent passe à la maison, je vais être soupçonné de vouloir organiser une « orgie » À dire vrai, l’envie ne me manque pas mais je pense qu’il faut amener ça le plus naturellement possible. Mais je ne vais quand même pas attendre six ou neuf mois pour que Vincent revienne. Ma réflexion m’a amené rapidement à rappeler Vincent pour qu’il me dise ce qu’il en pensait. — Allô Vincent, c’est Éric. Ça va ?— Bien, et toi ?— Pas mal. Tu ne m’as pas appelé depuis une semaine.— J’ai eu un boulot pas croyable à l’agence, mais j’allais t’appeler.— Tu montes à Paris un de ces jours ?— Bah ! Moi c’est quand vous voulez. Enfin je veux dire, quand tu veux, Éric.— Coquin, va. Tant que tu y es, Vincent, tu devrais appeler Sylvie pour lui demander si tu peux monter…— C’est une suggestion ou une blague ?— Prends-le comme tu veux, mon ami.— S’il ne tenait qu’à moi, j’aurais déjà mon billet de train, mais je me vois mal appeler Sylvie pour lui demander si je peux monter.— Monsieur est devenu timide. Je rêve !— Tu sais très bien qu’il ne s’agit pas de ça mais bon, je ...
... souhaite rester très respectueux des convenances. Je n’ai pas envie de passer pour ce que je ne suis pas. Mais évidemment, de mon coté, la question ne se pose pas. Je te confirme, Éric, si tu en as besoin, que je suis très motivé.— Je n’en doute pas. Comment fait-on ?— C’est à toi de me dire, Éric.— Sauf signe de Sylvie, on va temporiser. Je crois que tu as raison.— OK, à plus et bonne journée. Plusieurs semaines sont passées sans que ma femme ne revienne sur le sujet, en dehors de quelques allusions lors de nos ébats nocturnes. Je n’avais pas envie de revenir sur le sujet, de peur sans doute de briser un quelconque équilibre. Passés deux mois, la surprise est venue de ma femme. — J’ai demandé à ma mère de prendre les enfants ce week-end. Tu pourras les amener vendredi soir, Éric ?— Ça devrait aller, je ne quitte pas trop tard a priori.— Donc, je la rappelle pour lui dire OK pour vendredi soir.— Oui, ou samedi matin, faut voir.— C’est comme tu veux, mais Vincent arrive au train de 21 heures vendredi. Cette dernière phrase me fait sursauter. Vincent ne m’a parlé de rien, alors que je l’ai eu au téléphone il y a deux jours, étrange. — T’as invité Vincent ?— Oui, je lui ai fait un mail hier matin. Il a vite répondu. En tant que femme de son meilleur ami, j’ai le droit de lui faire un mail, non ?— T’aurais pu m’en parler, Sylvie.— Pourquoi, ça te dérange ? Si tu veux, on annule !— Non, non, je dis simplement que ça me surprend… Mais finalement je trouve génial que tu l’aies invité.— À ...