Après le soir pas comme les autres
Datte: 24/10/2018,
Catégories:
fhh,
couple,
couplus,
copains,
intermast,
jeu,
couple+h,
Masturbation
jeux,
... chacun son tour d’être surpris, mon amour, je pensais que ça te ferait plaisir de voir un de tes vieux amis.— Tu as bien fait, Sylvie. Pour dire la vérité, j’étais soufflé de l’initiative de Sylvie. Je me suis empressé le lendemain d’appeler Vincent et de lui demander pourquoi il ne m’avait pas prévenu. En résumé, c’était pour lui évident que j’étais au courant. Il était désolé. L’audace de Sylvie m’excitait profondément mais me rendait aussi curieux de la soirée que nous allions passer. Finalement je me sentais moins à l’aise que la « première fois », plus anxieux. Le vendredi soir, Vincent arrive comme à son habitude avec un bouquet de fleur pour la maîtresse de maison et une bouteille de champagne. Je suis tendu et je sens que Vincent est un peu fébrile. Je n’ai absolument pas abordé le sujet de notre soirée avec Sylvie. Sylvie est habillée normalement, avec une longue jupe et un chemisier. Ce dernier, couleur crème, est néanmoins assez transparent, juste ce qu’il faut. La soirée passe lentement et nous parlons de choses et d’autres, des affaires quotidiennes de nos vies respectives… Je vois bien le regard de Vincent se poser sur la poitrine de Sylvie ou sur ses fesses quand elle se lève. Sylvie est par contre très naturelle, comme si de rien n’était. Je décide d’attaquer le premier. — Tu as mis un chemisier transparent pour faire plaisir à Vincent, ma chérie ?— Un chemisier transparent ? Pas plus que les autres jours. Il est transparent, mon chemisier, Vincent ? dit ...
... Sylvie.— Un peu… lui répond Vincent.— Comment ça, un peu ? Il est transparent, oui ou non ? répète-t-elle.— Je ne sais pas te dire, moi, je n’ai pas le nez dessus ! À y regarder de plus près, oui, il est un peu transparent.— Qu’est-ce que tu vois alors, Vincent ?— Comment ça, qu’est-ce que je vois ?— S’il est transparent, qu’est-ce que tu vois ?— Un soutien-gorge blanc, dit Vincent.— Je crois que tu as raison, Éric, mon chemiser est transparent. Vincent le confirme. Ça ne vous plaît pas ?— Oh si ! s’écrie Vincent.— Rien à redire, ma chérie. Sur ces entrefaites, je me lève pour aller faire le café. Je ne vois pas quelle tournure la soirée va prendre. Je n’ai pas envie de forcer la main à Sylvie même si je pense qu’elle a une idée derrière la tête. Nous avons bu très peu de vin, il ne faut donc pas compter sur ce "désinhibant", et Vincent a l’air un peu tétanisé. Je rentre dans la pièce alors que Vincent discute avec Sylvie des prises de tête avec ses collègues de travail. — Le boulot, toujours le boulot, dis-je.— Eh oui, on se plaint quand on en a un et on pleure quand on en n’a plus, rétorque Sylvie. Les lumières des appartements voisins s’éteignent les unes après les autres. Il est minuit et demi et je commence à bailler. — Je suis crevé, dis-je. Je crois que je vais aller me pieuter.— J’aurai bien fait un petit jeu moi. J’ai fait 800 bornes, ce n’est pas pour me coucher comme les poules, dit Vincent.— Ton copain n’aime pas les jeux de société. Tu devrais le savoir depuis le ...