1. Match de foot


    Datte: 25/10/2018, Catégories: hh, extracon, copains, hotel, douche, intermast, Oral hdanus, hsodo, confession,

    Bonjour ; cette histoire est vraie et s’est déroulée cette semaine. En déplacement pour mon travail, je dois aller à Morlaix ; je dors là-bas le soir et ensuite je vais à Brest. Je mets donc sur mon compte Facebook mardi matin : En effet, je n’allais pas rater PSG – Barça ; mais voir un match seul dans une chambre d’hôtel, il n’y a rien de plus déprimant. Je reçois un message quelques minutes plus tard : c’est Sylvain, mon pote avec qui j’ai eu plusieurs aventures il y a quelque temps, qui me répond qu’il est lui aussi sur Morlaix et qu’on peut voir le match ensemble. Après avoir un peu discuté, on se rend compte qu’on sera dans le même hôtel ; le rendez-vous est donc pris pour manger ensemble et aller en ville pour voir le match dans un bar. —ooOoo— Le mardi soir, j’arrive vers 18 h à l’hôtel. Je prends ma chambre ; petite douche, appel à ma femme pour dire que tout va bien et je descends au bar vers 19 h. Sylvain est déjà là et nous mangeons ensemble dans le restaurant de l’hôtel, discutant boulot, de la famille, du match, etc. Le repas achevé, il est 20 h ; nous sommes à 15 minutes du centre-ville et une tension sexuelle s’est peu à peu installée pendant le repas ; de mon côté du moins, et je commence à avoir des envies peu avouables en public : envie d’embrasser son corps, de caresser ses bourses, de flatter son gland, son sexe dressé devant mes yeux. Bref, je veux du sexe entre hommes. À part lui, jamais je n’ai eu ce genre d’attouchements : je ne sais pas pourquoi il ...
    ... me fait cet effet, mais je deviens dingue en sa présence. Sylvain me dit alors : — J’ai un peu la flemme de reprendre la voiture, j’ai été 5 heures dedans aujourd’hui. Ça te dit pas d’aller voir le match dans ta chambre ou dans la mienne ?— Pareil : j’ai plus trop envie de bouger. On peut aller dans la mienne si tu veux. On reste quelque temps encore dans la salle de restaurant à parler sans se presser, à rigoler, se dire qu’on se connaît depuis 20 ans maintenant (eh oui, on avait 12 ans à l’époque), que c’est bizarre de se retrouver là pendant le boulot, etc. Bref, on discute de nous, de nos expériences, mais pas une fois on ne discute de notre secret : les soirées de branlettes, des pipes, des éjaculations communes qui ont rythmé notre adolescence et qui m’émoustillent toujours autant dès que j’y pense. 20 h 30 : nous montons dans ma chambre, prenons place sur le lit et on regarde la présentation du match, discutant de nos pronostics, etc. Le coup d’envoi est donné mais déjà je ne pense plus qu’à mon voisin, à son jean qui serre sa verge que je devine déjà réveillée, que j’espère prendre en bouche ce soir, au moment de sexe tendre et à la fois bestial dont j’ai envie. Machinalement, comme au bon vieux temps, je tends ma main vers son paquet et je le caresse à travers le tissu, guettant sa réaction. Il ne dit rien, ouvre son fute, le descend, enlève son caleçon et m’invite sans mot dire à prendre sa queue en main. Je fais directement sauter mes vêtements et me retrouve nu sur ...
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