Match de foot
Datte: 25/10/2018,
Catégories:
hh,
extracon,
copains,
hotel,
douche,
intermast,
Oral
hdanus,
hsodo,
confession,
... le lit ; lui est en tee-shirt. Je caresse lentement son sexe en regardant la télévision ; les Parisiens dominent les Barcelonais, et je m’en fous comme de ma première chemise, je crève d’envie de l’embrasser partout, de sucer ses tétons, de prendre ses couilles dans ma main et de sentir son foutre se répandre sur moi ou dans ma bouche. Bref, je deviens chienne en chaleur, sentiment que lui seul arrive à déclencher en moi, sans avoir à dire un seul mot ou à faire un seul geste. Doucement, je le masturbe ; il caresse mes testicules, les malaxe tendrement, m’électrise avec ses caresses. Je me penche sur son torse et commence à embrasser ses pectoraux. Je m’arrête sur ses tétons, je les suce, les embrasse, les aspire, je bouffe ses seins comme un mort de faim. Il souffle fort, me caresse la tête ; lui non plus ne regarde plus la télé : il a les yeux fermés. Je descends en embrassant chaque centimètre de peau, et arrive enfin à sa verge tendue vers le ciel. J’embrasse son pubis, prends son sexe dans la main, seulement pour l’enlever de mon chemin et m’occupe de tout sauf de lui. Je suis maintenant à hauteur de ses couilles, peu poilues ; je les lèche, les gobe, les caresse. Je suis allongé entre ses jambes, dos à la TV. Je le regarde : il a la tête en arrière, la bouche entrouverte. Je descends entre ses couilles et son anus, lèche cet endroit sensible. Je meurs d’envie de lécher sa rondelle, mais le connaissant, il dira non et risque de couper ce moment intense pour uniquement ...
... se masturber, sans aller plus loin. Je passe ma langue sur ses couilles, redescends, fais des allers-retours ; il gémit doucement, et je remonte lécher sa verge de bas en haut, je fais tourner ma langue sur son gland, malaxe ses couilles. Je suis à genoux et doucement je le masturbe, une main sur sa queue, l’autre sur ses testicules. Il écarte un peu plus les jambes et je retourne lécher sous ses couilles. Il soulève ses fesses et je me retrouve face à son œillet, tout propre. Je m’aventure donc vers son orifice, lèche tout doucement l’entrée. — Vas-y, lèche-moi le cul, me dit-il. Je ne me fais pas prier et ma langue explore son anus pendant que ma main masturbe tout doucement sa queue dure comme de la pierre, qui tressaute à chaque coup de langue. Au bout de 3/4 minutes de ce traitement, je remonte et prends sa queue en bouche ; je le regarde, il a les yeux ouverts, il me sourit : — Je vais jouir, attention ! Comme une salope de première, je le branle doucement, le regardant droit dans les yeux ; je vois son visage se crisper, et il lâche son foutre dans ma bouche, en longues rasades que j’avale sans lâcher son regard. Puis son sexe ramollit et je le sors enfin de ma bouche. Je remonte à ses côtés. Je sais qu’il va simplement me branler mais je veux jouir entre ses doigts, c’est toujours mieux que dans ma main. À ma grande surprise, il descend, me lève les jambes et m’offre à son tour un anulingus, sa langue fouillant mon intimité sans retenue. Je deviens fou… Il m’introduit ...