1. Ma femme baisée devant moi : du fantasme à la réalité


    Datte: 26/10/2018, Catégories: fhh, couple, couplus, cocus, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, préservati, init,

    ... juste bonne à être enfilée … hummm Dans un ultime râle, je jouissais également, lui envoyant de longues et chaudes giclées dans la chatte. Alors elle se laissait tomber sur mon torse et nous nous embrassions tendrement et amoureusement, oubliant toutes nos envolées jusqu’au prochain moment d’intimité. L’idée de passer du fantasme à la réalité me trottait donc dans la tête, mais je savais que Laurence, redevenue l’épouse modèle et sage une fois l’orgasme passé (jusqu’au suivant bien entendu), refuserait catégoriquement toute expérience de ce type. Il faudrait donc pour arriver à mes fins (et aux siennes également) user de créativité et profiter du bon moment. Celui-ci arriva par un beau soir d’été. Nous étions seuls toute la semaine, les enfants étant en vacances pour quelques jours chez leurs grands parents. Laurence avait passé toute l’après-midi à se reposer au bord de la piscine, laissant la chaleur et l’éclat du soleil envelopper et dorer sa peau. Quand je rentrai de mon travail vers 19h, je la trouvai encore allongée sur un transat, assoupie et bercée par les derniers rayons. Je déposais un délicat baiser sur ses lèvres closes, laissant le revers de ma main dessiner légèrement les courbes de son corps. — Oh, mon chéri … tu m’as réveillée … mais quelle heure est-il ?— 7 heures … pourquoi ?— Mince … Franck va arriver …— Franck ?— Oui, l’étudiant qui fait du modelage avec moi, il m’a téléphoné et il me ramène ma pièce … En effet, Laurence faisait partie d’un groupe qui ...
    ... suivait des cours de modelage artistiques, et la cuisson de sa dernière pièce, une femme nue étendue aux chairs voluptueuses, venait d’être cuite et était donc disponible, et l’un des participants, Franck, lui proposait de lui rendre service en la lui rapportant. J’avais à peine digéré l’information qu’un grand jeune homme, pas mal fait de sa personne et au sourire enjôleur, vêtu d’un jean et d’une ample chemise de coton, apparaissait sur la terrasse avec la fameuse pièce en main. — J’ai sonné … et comme personne ne répondait je suis passé par derrière. Laurence le remercia et je le saluai en lui proposant un verre. Il posa la pièce sur la table de bois et je voyais ses yeux dériver sur le corps presque nu de ma femme, s’attardant sur ses hanches qui laissaient deviner des fesses aguichantes. Ma femme se leva pour chercher trois verres et une bouteille de muscat. Il suivit le déhanchement lascif de son cul tout en me parlant de ses études. Je l’invitais à s’asseoir au bord de la piscine pendant que Laurence nous servait. Je crus qu’il allait s’évanouir quand, pour remplir mon verre, elle se pencha, lui mettant sans faire exprès et sans penser à mal, pratiquement à un mètre de son visage, la vision de sa croupe rebondie et tendue. La bouteille de muscat se vidait tandis que le soleil déclinait à l’horizon ; l’alcool aidant, la conversation se fit imperceptiblement plus cordiale, plus amicale, voire par moments plus intime. Nous étions donc tous plus ou moins assis sur la terrasse ...
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