1. Manon ou l'amour interdit (4)


    Datte: 26/10/2018, Catégories: Lesbienne

    ... pour lancer sa langue à la recherche de sa consœur. La main passa sous le soutien-gorge et empauma le petit sein. — ne me dis pas que tu n’aimes pas. Tu as les tétons tout durs ! dit Julia. — non Julia, arrêtez, s’il vous plait, — je ne peux pas, j’ai trop envie de toi. Lasse-moi te monter qu’on peut avoir du plaisir, beaucoup de plaisir entre femmes. — non, il ne faut pas … Julia continua de caresser les seins de Manon, tout en l’embrassant. Malgré elle, Manon répondait à ses baisers, tout en étant tiraillé entre le refus de cette étreinte et le retour des services rendus par Julia. Julia retira sa main et prit celle de Manon qu’elle posa sur son sein. — sent mon cœur qui bat pour toi Manon écarquilla les yeux. C’était la première fois qu’elle touchait une autre femme. Julia repris ses baisers et reposa sa main sur le ventre de Manon. Mais cette fois, elle appuya sur le nombril et se glissa sous la ceinture du pantalon puis sous l’élastique de la culotte. Les doigts rencontrèrent aussitôt une forêt dense de poils. Julia s’abstint de tout commentaire et continua sa progression. Le majeur trouva la vulve humide. — tu es excitée comme une pucelle ! Tu es toutes mouillée. Julia se leva et retira sa robe. Si Manon s’était rendu compte qu’elle ne portait pas de soutien-gorge, elle s’aperçut qu’elle n’avait pas de culotte non plus. Seuls des bas autofixants habillaient ses jambes. — je t’ai dit, c’est une robe qui se porte à même la peau. Mais c’était le sexe totalement épilé ...
    ... qui attira le regarde Manon. Julia se débarrassa de ses chaussures et se mit entre les jambes de Manon. Elle déboutonna le jean, attrapa la ceinture, la culotte et retira le tout. — mon ami peut arriver tout moment, dit Manon, espérant mettre un terme à ce viol consentit malgré elle. Car si son esprit disait non, son corps criait le contraire. La beauté, la douceur, les caresses, les baisers de Julia l’attiraient, l’excitaient. Et si elle-même n’était pas lesbienne du tout, l’aura, le charisme de Julia la poussaient à se laisser faire. — il y a longtemps que je n’avais pas vu un tel tapis de poils, taquina Julia. Pas depuis les années quatre-vingt. Julia carta les cuisses que Manon avait serrées. — laisse-toi faire, mon chaton. Laisse-toi faire. Julia s’approcha et embrassa la vulve. Manon se cambra sous la caresse, laissant échapper un gémissement de plaisir. Julia avait gagné. Elle lécha ce sexe dégoulinant, pointa sa langue entre les lèvres, titillait le clitoris. Manon gémissait de plus en plus fort, se tortillait sur le canapé. Puis Julia attrapa les tétons dressés dans chaque main et les pinça doucement. Manon cria de plaisir. Mais lorsque Julia prit le clitoris entre ses dents, l’orgasme foudroya Manon. Julia s’écarta soudainement et un liquide blanchâtre jaillit du sexe de Manon pour se répandre sur le parquet. — oh putain ! s’exclama Julia, ma première femme fontaine. — je … qu’est-ce qui m’arrive ? s’inquiéta Manon — quoi ? C’est la première fois ? — oui, dit Manon ...