Tante Gisèle, maman, et les autres... (16)
Datte: 26/10/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... effluves aphrodisiaques qui pénètrent dans mon nez pour exciter délicieusement mon cerveau. Je me vautre dans son vagin rempli de sperme et de jus féminin, et quand je pousse bien au fond, je sens son utérus qui sous la pression s’entrebâille, comme pour laisser entrer mon gland, augmentant mon plaisir. Ça glisse à mort, et mon membre gorgé de sang est dur comme du bois. Mes veines saillantes font mousser le foutre et une couche épaisse vient s’agglutiner dans nos toisons respectives. Chaque coup de reins provoque un souffle d’air empreint de nos odeurs enivrantes, l’odeur de nos sexes souillés de nos jus mélangés qui agit comme une drogue qui augmente mon envie de la défoncer. J’accélère, je la pilonne pour lui donner du plaisir et pour prendre le mien, je n’arrive toujours pas à réaliser que je baise la jeune sœur de Blandine qui vient de découvrir l’orgasme et la jouissance qu’il procure. Je la pilonne et défonce sa chatte qui en redemande. — oui, vas-y encore plus fort, plus fort, défonce moi, fais-moi jouir, enfonce, .... Ouiiiii... enfonce, oh putain je vais jouir, aaaahhhhh, Dany, t’es monté comme un taureau, quelle bite, putain qu’elle est bonne ! — Oh je vais jouir moi aussi, je vais gicler dans ton utérus, je vais te l’ouvrir et gicler dedans. — Oui, vas-y ! Fais-moi un bébé ! ...
... Décharge, jute, vas-y, mets en de partout dans mon vente, haaaaaaaa..... Cette femme mal baisée par son connard de mari se lâche complétement. Son ventre se soulève frénétiquement des que je me retire un peu, ne voulant pas perdre un seul centimètre de mon sexe. Je n’en peux plus, je pousse mon gland contre son utérus qui s’ouvre et me laisse entrer, et je sens jaillir ma semence en de longs jets puissants, propulsée hors de ma queue tressautant. Elle se déverse avec violence dans son utérus, et puis je ressors pour finir dans son vagin, et lui sature de nouveau le ventre d’un foutre épais et visqueux. Ma petite Corine jouit également criant, haletant, et donne de grands coups de bassin vers l’avant. Sa chatte s’est transformée en un cratère géant, regorgeant de jus, littéralement explosée, dilatée. Je reste un moment enfoncé entre ses cuisses, sentant les contractions de ce vagin noyé et saturé mais maintenant avide de pénétration. Corine me regarde amoureusement, heureuse d’être vraiment femme, heureuse de se faire baiser, de sentir ses lèvres coulisser autour d’un pieu d’une taille inespérée mais faite pour sa petite chatte. — Reste en moi, je t’aime et je veux vivre avec toi. Je n’ai pas le temps de répondre car j’entends. — C’n’est pas vrai ! Vous êtes encore en train de baiser ! Phantome