Nous deux, Mary et Pierre (8)
Datte: 26/10/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
Chapitre 9 : rencontre inattendue Après notre vol de retour, lequel s’est passé blottis l’un contre l’autre, notre amour est ressorti grandi de notre séjour aux Antilles. Mary est devenue ma moitié, et je ne peux plus me passer d’elle, tout simplement, je l’aime. Le taxi nous amène en ce dimanche soir devant la maison. Les valises déposées dans l’entrée. Trop fatigués pour ranger nos affaires, direction la douche. Nous y serons bien sages, juste quelques bisous. Nous nous lavons mutuellement, puis nous dirigeons vers la chambre pour une nuit réparatrice, couchés nus, dans notre positions favorite. Avec le décalage, nous nous réveillerons tard dans la matinée. Je suis collé contre Mary, Popaul aurait bien envie d’une petite gâterie, alors je commence à me frotter contre son joli derrière, lui peloter sa grosse poitrine. « Tu es vraiment insatiable, tu as toujours envie de me sauter, petit cochon !... » - « Que veux-tu ma chérie, quand on a une belle femme dans son lit, on veux en profiter. » - « Du calme mon amour, on verra ça plus tard, il faut aller faire les courses. » - « Ah non, j’ai trop envie de toi ! » -« Pas de discussion, je vais à la douche, et toi tu prépares le petit dej. » - « A vos ordre mon amour !... » Après le petit déjeuner nous nous rendons au supermarché, maman vêtue d’une légère robe d’été arrivant à mi-cuisses, laissant deviner ses formes, mais tout dans le suggestif. Maman a abandonné toute discrétion, collée contre moi, et me balançant du « chéri » ...
... à tout va. Je sens sur nous des regards envieux, d’hommes sur Mary, et de femmes, se demandant ce qu’elle fait avec un jeune. On s’en moque, et Mary me dit au creux de l’oreille : « tu as vu tous ces coincés, comme ils nous regardent !!... » - « Ils sont jaloux de notre amour » De retour à la maison, tandis que nous rangeons les courses, en se baissant devant moi la robe de Mary remonte, laissant apparaître son magnifique cul. Je distingue la ficelle de son string entre ses deux globes, mon sang ne fait qu’un tour devant ce spectacle, ma queue déforme mon boxer. J’attrape maman par les hanches, et je me colle contre elle, ma queue bien contre son cul. « Eh bien, c’est moi qui te fais autant d’effet ? » - « Non c’est la bonne !!... » - « Tu es comique mon chéri ! » Maman se redresse, toujours collée contre moi, frottant son cul contre ma queue, c’est de nouveau l’émeute dans mon boxer. « Aurais-tu des envies mon chéri ? » Les mains de maman, passées derrière elle, frottent sans vergogne mon engin, je vais exploser. N’étant pas en reste, je malaxe ses deux belles oranges, en l’embrassant dans le cou, mes mains descendent à la hauteur de sa chatte, que je tripote par-dessus sa robe. Avec lenteur, mes mains trouvent le chemin de sa minette, mes doigts se faufilent sous son string, je caresse ses grandes lèvres, titille son clito. Maman a ouvert les vannes, elle mouille abondamment, la tête en arrière dans le creux de mon épaule, de petits gémissements de plaisir sortent de sa ...