1. Nous deux, Mary et Pierre (8)


    Datte: 26/10/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... vous ont trahie quand vous parliez de lui, je suis passée par là moi aussi… ». — « Je me sens rassurée maintenant, j’espère que vous ne me jugez pas mal ? » - « Loin de moi cette pensée, n’oubliez pas que je vis la même situation, et je serais mal placée pour porter un jugement. » — « Nous devrions nous voir ailleurs, pour approfondir le sujet, venez donc dîner samedi soir avec votre fils, vous connaissez notre adresse. » — « Ce sera avec plaisir, la discussion risque d’être passionnante, merci beaucoup, et à samedi Mary… » - « A samedi Valérie ». Les deux femmes se font la bise, avant le départ de Mary. Mary rentre à son domicile. Tout en conduisant, deux sentiments la taraudent : comment va réagir Pierre, de l’initiative d’inviter des presques inconnus ? Et l’autre, plus sympa, de n’être pas les seuls à vivre cette situation. « Bonjour mon amour, alors ce questionnaire ? » - « Rien de spécial, simplement donner notre avis sur notre séjour. » - « Tu es bizarre ma chérie, que ce passe-t’il ? » - « Pierre, il faut que l’on parle ! » - « De quoi ? » « Notre secret a été découvert !! » - « Mais par qui ? » - « Par Valérie, la dame de l’agence, elle a tout compris pour nous deux ! » - « Je ne vois pas où est le problème, et elle a découvert cela comment ? » - « Elle vit là même chose avec son fils depuis quinze ans. » - « ça alors, c’est cool ! » - « Je les ai invités tous les deux samedi soir à dîner, pour en discuter, ça ne te dérange pas ? » - « Sympa, comme cela on pourra ...
    ... comparer nos relations. ». Le samedi arrive, préparation du repas, nous mangerons sur la terrasse, je prépare le barbecue, Mary les salades. Puis nous nous apprêtons dans notre chambre, Maman portera une robe légère à fines bretelles, de couleur crème, à mi-cuisses, le dos dénudé, et des petites sandalettes plates, pour une fois, pas de talons. Je lui fais la remarque : « tu ne mets pas de soutif ? pourtant nous avons des invités. » - « Il fait trop chaud ce soir, et c’est bien agréable de les savoir libres… ». Pour moi bermuda et tee-shirt, tenue de circonstance pour cette fin d’été. On sonne, Maman ouvre à nos invités, présentations faites, je fais la bise à Valérie et une bonne poignée de mains pour Éric. Valérie ! Une femme superbe, la cinquantaine, des yeux d’un bleu, et un regard aussi mutin que maman, de très belle courbes. Je remarque de suite qu’elle aussi n’a pas mis de soutif, et sa robe est pratiquement identique à celle de maman, mais dans les tons bleus. Et surtout, elle s’est perchée sur des sandales à lanières qui lui galbent ses belles jambes. Éric, la bonne trentaine. En le voyant regarder sa maman, il me semble aussi amoureux que moi de la mienne. Après les présentations de circonstance, nous passons sur la terrasse, pour l’apéro, et le dîner. Notre dîner se déroule à merveille, je sympathise rapidement avec Éric, les deux femmes aussi discutent, on l’air bien complices, mais personne n’ose aborder le sujet de nos relations hors du commun… La fraîcheur de la ...
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