1. [Sci-Fi] L'évolution de la race humaine (50)


    Datte: 26/10/2018, Catégories: Divers,

    ... qui les tourmentaient et qui tournaient pour beaucoup autour de Déesse. — Pardonnez-moi, ma mère, parce que j’ai pêché, professa une religieuse. — Raconte-moi, tout, sœur Anna. — Oh ... n ... non, je n’oserai jamais ! C’est terrible je ... je ... — Ma sœur, il n’y a que nous. Aie confiance en moi. La sœur prit une grande inspiration et souffla longuement avant de se jeter à l’eau : — J’ai commis le péché de luxure. — Raconte-moi. — Eh bien ... je ... j’avais très envie de ... envie de ... enfin, vous comprenez ? Alors, je ... je n’ai pas pu m’empêcher de ... de me toucher. — L’avais-tu déjà fait auparavant ? — Oh non, ma mère ! Jamais je n’aurais osé faire une telle chose ! — Et comment était-ce ? — C’était ... merveilleux, ma mère ! Je n’ai plus su m’arrêter ... Mais j’ai fait encore pire. — Dis-moi. — Sœur Cunégonde est venue vers moi et a voulu me ... Dieu tout puissant, jamais je n’oserai ... Elle a voulu me lécher le ... enfin, vous savez ... — Oui. Et qu’as-tu fait ? — Je ... je l’ai laissé faire. Mon Dieu, je ne voulais pas mais je n’ai pas pu m’en empêcher. — Dis-moi, sœur Ana, qu’as-tu ressenti pendant qu’elle te léchait ? — Le plaisir, ma mère ! Un plaisir immense et incontrôlable ! C’était si bon que j’ai pris la tête de sœur Cunégonde et je l’ai pressé contre mon entrejambe. — As-tu joui ? — Si j’ai ... ? Heu ... je ... je ne sais pas, ma mère. Je n’ai jamais joui de ma vie. Je ne sais pas à quoi ça ressemble ... — Eh bien, c’est comme si, tout à coup, ton âme ...
    ... était conviée au paradis le temps de quelques secondes. On se sent si bien qu’on ne sait même plus réfléchir et tout ce à quoi on pense est ce plaisir intense. Était-ce ça, sœur Anna ? — Oui, ma mère, je pense bien que c’était ça. — C’est fantastique, tu es parvenue à prier Déesse ! — J’ai prié Déesse ? Mais je ne La connais même pas. — Déesse n’a pas besoin d’être connue pour être priée. Il suffit d’avoir un orgasme, comme tu as eu. C’est notre façon de La remercier et de louer Ses bienfaits. — Mais ... qui est-Elle exactement ? — Elle est notre mère à toutes, Sœur Anna. Elle veille sur nous. — Et ... elle tolère le péché de luxure ? — Mieux encore, Elle l’encourage. Et c’est loin d’être un péché pour elle. Comment quelque chose qui nous fait nous sentir aussi bien pourrait-il être mal ? — Je ... je ne sais pas, ma mère. C’est vrai ça ... Mais donc, je peux recommencer ? — Autant de fois que tu le voudras ! Mais tu ne dois surtout pas oublier de remercier Déesse pour le plaisir qu’Elle t’offre. J’aimerais te poser une question : Après avoir joui, qu’as-tu fait ? — Je ... je me suis assoupie, je pense. — Et sœur Cunégonde ? — Je ... je ne sais pas ... — Bien, la prochaine fois que cela arrive, tu dois également remercier celle qui t’a donné un tel plaisir. — Mais ... n’est-ce pas Déesse ? — Si, bien entendu. Mais la femme qui a été l’instrument de Déesse pour te fournir ce plaisir devra elle aussi être remerciée. — Comment ? — En la faisait jouir à son tour. — La faire jouir ? ...
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