1. Tranche de vie dans la soumission - 2


    Datte: 27/10/2018, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    Je finissais mon récit précédent en envisageant de m’abandonner complètement à celui chez qui je vis, qui détient la clé de ma cage de chasteté, et qui me baise dès qu’il en a envie. La cage qui me comprime le pénis à chaque érection et les envies fréquentes de sexe de mon maître ont exacerbé mon désir sexuel et je suis tout le temps excité sexuellement. Aussi, j’ai fini par céder et accepter ma soumission pleine et entière. Je n’ai pas verbalisé cet accord, mais mon maître a compris que je lui appartenais définitivement en voyant que je ne lui refusais rien. Il a compris qu’il pouvait me réveiller de mon sommeil en frottant son pénis sur mon visage et en insérant son gland dans ma bouche encore pâteuse. Si au début j’ai eu des difficultés d’adaptation, c’est à peine réveillé désormais que je me mets à téter sa sucette quand il me la présente à la bouche. L'idée de servir ainsi cet homme, et de me voir à sa disposition m'entraîne à faire tout ce que les autres qualifieraient de bassesse. Constatant que je m’abandonnais, il m’a imposé de porter un ras le cou, simple et noir, signe que je suis à lui. Cet accessoire a beau être sobre, il n’en reste pas moins visible, surtout chez un homme et je vois bien au regard de mes camarades de fac qu’ils se posent des questions. Il s’est également mis à m’appeler par le nom de son ex-femme (Geneviève) mais sans me féminiser. Je reste un homme, poilu…, mais avec un nom de femme dans l’intimité et avec la cage de chasteté. Et je vis ...
    ... désormais nu chez lui (il n’y a pas de vis-à-vis). Je subis ses assauts très souvent, ou plutôt j’en jouis car si l’excitation est omniprésente, la satisfaction est fréquente, même si je ne jouis plus du pénis, organe devenu inutile. Il se permet également de me faire prendre des risques. Une fois, à une réunion de famille chez mes parents, il m’a alerté de sa venue par sms. Je suis allé lui ouvrir discrètement ; il voulait me baiser tout de suite. Il est allé dans l’atelier au fond du jardin et je l‘ai suivi docilement, J’espérais que personne ne nous remarquerait, mais étant sous son emprise, je l’ai suivi sans regarder autour ; il m’avait ordonné de le suivre. Dans l’atelier, il m’a pris face contre le mur et m’a sodomisé sans me préparer. Il me malaxait douloureusement les testicules ; le but étant de tester ma soumission à lui – soit je l’arrêtais soit je le laissais faire. Je l’ai laissé faire malgré la douleur et les risques. Une semaine plus tard, il m’expliquât vouloir me faire passer un ultime test de soumission. Il m’emmena aux abords de la ville dans un quartier ancien et pauvre. Nous sommes entrés dans une bâtisse délabrée qui servait de squat à un SDF. Le dernier test consistait à voir si je suivrais ses ordres jusqu’au bout. Le SDF était crasseux et je priais pour que mon maître se rétracte. Dans le même temps, je n’envisageais pas de reculer ; il m’avait ordonné de lui obéir. Alors je me suis approché du SDF, j’ai ôté ses vêtements un à un : ils étaient raides ...
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