1. Tranche de vie dans la soumission - 2


    Datte: 27/10/2018, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... tellement ils étaient sales. De son corps émanait des relents de saleté, d’urine et d’alcool. Il bandait mais n’était pas très bien membré. Je me suis déshabillé à mon tour et je me suis agenouillé. Mon maître ne ratait rien de la scène. Son sexe sentait littéralement l’urine et la transpiration. Je l’ai saisi des doigts et l’ai mis dans ma bouche. J’avais des hauts le cœur et je dus attendre de m’y habituer avant de pouvoir le sucer. C’était révulsant. Je suçais un SDF crasseux dans un squat et j’étais sur le point de vomir. A ce moment là, mon maître s’est approché de moi et m’a soufflé à l’oreille : « Geneviève, prends plaisir à le sucer car c’est moi qui te l’ordonne. Désire ce que je désire et tu verras que tu aimeras tout faire, tout ce que je veux. En te soumettant à mes désirs, en t’effaçant face à mes envies, tu te soumets véritablement à moi. C'est ainsi que je veux t'aimer » Assimilant ses paroles, une barrière s'est comme brisée dans ma tête et j’ai commencé à prendre du plaisir à sucer cette queue dégoûtante car c’était la volonté de mon maître. Je me suis mis à la lécher, à lécher son pubis son scrotum, en enfouissant ma tête sur sa verge et ses poils. Et j’aimais ça. Je ressentais de l'attirance pour ce SDF sale et gras. Si ma soumission et les désirs du maître exigeaient que je devienne excité à l'idée de lécher le corps de ce SDF, alors je m'exécutais avec plaisir. Il m’a fait mettre à 4 pattes, et m’a sodomisé sauvagement. Je jouissais sous ses coups de ...
    ... queue dans mon anus. Mon plaisir sexuel était en fait causé par le plaisir que j’avais à obéir à mon maître. Son plaisir était devenu le mien. Le SDF grognait et m'insultait. Ses propos orduriers autant que sa crasse étaient avilissants et ne pouvaient que montrer ma soumission à mon maître. Un plaisir sexuel de soumission m’envahissait et alors que ses coups de reins se faisaient très forts, je me suis mis à jouir et crier « JE VOUS AIME, MAÎTRE. JE VOUS ADORE ». Et c’est quand sa queue déversait de grosses quantités de sperme que je me suis mis à hurler : « JE SUIS GENEVIÈVE ET JE SUIS TOUT A VOUS ». Je me suis écroulé par terre, terrassé par l’orgasme anal et la révélation. Nous sommes repartis et depuis je n’envisage plus de le quitter. On a continué à vivre ainsi – moi nu, en cage de chasteté, soumis et épanoui sexuellement et mentalement. Je vis une relation intense à tous points de vue avec un homme qui me connaît mieux que moi-même. Pour finir, il a organisé une sorte de « cérémonie de mariage » afin de consolider notre lien. C’était chez lui avec deux amis, un faisait office de maire-prêtre, l’autre filmait. Ils étaient en costume et moi nu ne portant que mon ras-le-cou et la cage, et très ému. Est venu le moment de mes vœux ; j’avais demandé à en prononcer. Je me suis mis face à lui et lui ai dit : « Par ce baiser, je scelle mon âme à la tienne et te l’offre. » Je l’ai embrassé sur la bouche. Puis je me suis agenouillé, ai ouvert sa braguette, sorti son pénis et dit : « ...