1. Kiss me stupid


    Datte: 27/10/2018, Catégories: Humour, Mature,

    ... jetais un œil dans lemiroir. J'y vis en effet une créature qu'on eût prit aisément pour unepute requis par un client d'hôtel. De toute façon il était trop tardpour changer.L'ami commercial ne put réprimer un sifflement et d'allumer son œilégrillard. Point de romantisme. Sa vulgarité pouvait s'épanouir. J'eusvite la main remontant sur la cuisse. J'étais tout à la foisdécontenancée et en colère. Tout cela était la faute du mari. Cependantqu'y pouvais-je ? Je crus ne pas refuser à ce type. Peu loin il serangea pour m'embrasser. Sa main s'activait déjà dans la culotte. Commepour me débarrasser et hâter je lui concédais une bonne pipe que jesavais faire. Grand seigneur il m'en remercia par la suite. Le vin puisla coupe de champagne achevèrent de me rendre toute sentimentale.Il me sauta sans vergogne sur le lit. Mon look de pute l'avaitmanifestement émoustillé. Il se dépensât sans compter. Je crus un momentque j’allais dire pouce. Il avait sans cesse pilonné mes orifices. Enfinsans prévenir il s'écroula dans le drap abruti de fatigue. Je n'étaisquitte moi-même qu'à me reposer et me remettre de ces émotions. Lelendemain matin apaisé il ne réclamât qu'une pipe en guise d'au revoir.La vulgarité l'avait abandonné. Il se comportât en gentleman etn'insista pas pour avoir mon numéro. Ce détail me chagrina plus que deraison. Etais-je à ce point négligeable ? Je m'en vengeais plus tard endiscutant féroce au cours du premier rendez-vous.Je fis un carton. Je sortis le clairon pour aller ...
    ... l'annoncer au patron.Je le vis surpris plus que mécontent que je pus mater un client sicoriace et retors. Cette semaine-là j'eus le feu. Pris d'une ivressevengeresse, je mettais à tout coup le pied dans le plat et pratiquais àtout crin l'offensive au risque de me planter. Pour la plupart celamarchait. Au besoin je recourus une fois à la fameuse minijupe. Pour unclient manifestement porc. Il ne me cachât pas son goût pour les jeunesfilles et notamment sa secrétaire qui ce jour-là l'accompagnait. Unmoment par défi je lui jetais en catimini : "Je vous crois un Don Juande pacotille."Deux heures après il m'appelait pour m'inviter à dîner. Il éclata derire quand il me vite accoutrée en pute comme la première fois. Bon sireil déclara que je l'avais convaincu. Je n'en dus pas moins dispenserl'une de mes meilleures pipes. Ceci acheva de le subjuguer. En fait lebougre était fort sympathique. Pris d’alcool et de tristesse j'en vinsaux confidences. Notamment sur la goujaterie de mon mari. Il m’assénaque c'était banal. Que j'étais sotte à me faire du mauvais sang. Il medit goguenard nous allons lui donner une leçon. Il m’emmena à l'hôtel etme montrât qu'en vieux Don Juan il avait le pétard requis et toutel'endurance.Ce fut la seconde semaine que j'outrepassais la limite. Ce dont j'ai leplus honte. En effet la nuit pour m'endormir j'écumais des sites etjouais à allumer plein de types et de débiles. Il advint qu'à l'un plussympa et rigolo, je consentis un rendez-vous le midi près d 'un ...