Une soirée de charité ...
Datte: 28/10/2018,
Catégories:
fh,
hagé,
extracon,
cocus,
Collègues / Travail
fête,
fsoumise,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
strip,
fsodo,
init,
... gourmandise. Sa main coulisse jusqu’à la base, puis remonte vers son propre sexe qui se vide de plaisir et inonde les couilles de Jules. Elle écarte sa chatte nue, décalotte son clitoris, petite excroissance rougeâtre qu’elle masturbe une fois encore tout en entamant une série de montées et de descentes de plus en plus rapides. Et elle jouit, comme une folle. Enfin elle peut crier son plaisir. Et elle hurle. Le sexe lui déchire l’anus, l’écartèle, lui éclate le cul. Et elle entame une série de montées et de descentes à une allure vertigineuse, accélérant sa masturbation jusqu’à ce que leur plaisir éclate… Jules, sous l’effet de la jouissance, grogne et souffle… Elle sent le sperme chaud qui monte, puis se répand dans son boyau. C’est brûlant. Ses muscles massent toute la hampe. Elle fait attention à ne pas déculer trop vite, pour aller au bout de son plaisir… Déjà le sexe de son amant se ramollit… Elle reprend son souffle. Doucement, les jambes lourdes de plaisir, elle remonte, se redresse… Sous elle, Jules ronfle… Il s’est endormi après cette jouissance. La poitrine se soulève doucement, calmement. Le sexe, luisant de plaisir, repose, recroquevillé, presque sage entre les cuisses parcheminées du Président… Maria Francesca attend quelques secondes, puis décide de regagner le grand salon. Elle récupère sa robe, s’examine dans le reflet de la glace de l’aquarium, ajuste sa coiffure de deux ou trois petits passages de ses doigts et enfile sa robe. Doucement, elle traverse le ...
... bureau, ouvre la porte et reprend son souffle. Si jamais Dominique est là, derrière, il faut qu’elle lui présente une figure de circonstance… et qu’il n’ait pas de soupçons… Epuisée, les jambes tremblantes, Maria Francesca traverse le salon heureusement vide. Puis, avant de pousser la porte qui donne dans le grand salon, elle respire un grand coup pour reprendre un semblant de vie. Le grand salon qui est en train de se remplir. Mais d’où sortent-ils ? Se demande-t-elle. Où étaient-ils ? Déjà elle a vu Dominique, dans un coin, un lourd verre de Cognac à la main, discutant avec Dubois. Décidément, ce type, elle ne peut pas l’encadrer. Mais tant pis. Alors qu’elle traverse le salon en biais pour rejoindre son époux, un, puis deux, puis une salve d’applaudissements la surprend et l’interroge. Tout le monde la regarde, la suit durant sa traversée en nourrissant de nombreux et chaleureux applaudissements. En arrivant auprès de Dominique, elle lui demande : — Mais pourquoi m’applaudissent-ils ?— Mais parce que ce soir tu es la reine, tu viens de gagner le gros lot de la tombola…— Le gros lot ? Quel gros lot !— Ben ça, dit-il en sortant de la poche de son smoking un écrin rouge et en lui tendant. Maria Francesca interloquée, en butte à tous les regards envieux de l’assistance, s’empare de la petite boîte de cuir rouge. Les mains tremblantes, les doigts moites, elle l’ouvre. Dedans, brillant de mille éclats, une énorme bague avec un diamant. — C’est moi, qui ai gagné ça ?— Mais oui…— ...