1. L'étalon ultime (3)


    Datte: 28/10/2018, Catégories: Gay

    13 mars : Cela faisait bientôt un mois que Léo avait acquis son pouvoir. Il n’avait pas retenté l’expérience d’une baise d’un soir à la boîte de nuit. Le manque d’enthousiasme dont avait fait preuve sa conquête l’avait poussé à s’interroger sur sa propre performance. La taille était-elle insuffisante ? Ou bien était-ce la technique ? Ou pire : les deux ? A vrai dire, le jeune homme avait peur de sa prochaine expérience. Peur que cela confirme les doutes qu’il éprouvait. Il préférait attendre que les beaux jours arrivent pour dévoiler son corps d’éphèbe et charmer patiemment Angélique. La laisser mijoter et fantasmer. Mais pour l’instant, Léo rongeait son frein. Littéralement. Il se masturbait chaque matin – avec les deux mains maintenant-, à la faveur d’une trique d’enfer, et chaque soir. Il avait commis l’erreur d’omettre la branlette vespérale une fois. La conséquence a été de se réveiller dans des draps trempés. C’était la première fois qu’une pollution nocturne lui arrivait. Bien qu’il se jurât de ne pas recommencer, il avait été troublé, et même excité, de baigner dans une quantité conséquente de son propre sperme. Il était temps pour lui de rentrer voir ses parents, qui habitaient à la périphérie de l’agglomération ; le sac de linge sale débordait. En outre, tous ses slips étaient tâchés de blanc à cause du liquide pré-séminal qui avait tendance à suinter en fin d’après-midi. Il avait fait le choix de garder le rythme de deux branlettes quotidiennes afin ...
    ... d’éjaculer plus de volume, et donc décupler le plaisir. Mais sa physiologie lui faisait payer cette fréquence encore trop basse. Il aurait pu réduire sensiblement la taille de ses testicules. Cependant après avoir goûté à la jouissance qu’ils lui procuraient, il était hors de question de reculer, dût-il en accepter les inconvénients. Et tant pis pour la réaction de sa mère à la vue de son linge maculé. Il arriva chez ses parents, lesquels l’accueillirent dans l’entrée. Juste après les bises d’usage, son père s’étonna : — Ben dis donc, tu as vachement forci. C’est du muscle tout ça? — Euh, oui ! Je me suis mis à la salle de sport grâce à l’abonnement qu’Alex m’a offert. Et ça marche du tonnerre, inventa le fils. — Je vois ça, oui. Ben tant mieux, tu vas toutes les tomber !, se félicita le père. Ses parents le connaissaient comme s’ils l’avaient fait. C’était d’ailleurs le cas ! Et la modification de son physique ne pouvait passer inaperçue. Le problème était que Léo n’avait jamais mis les pieds dans cette salle, et serait démasqué tôt ou tard s’il ne s’y rendait pas fréquemment. Il ajouta pour parachever son mensonge : — D’ailleurs j’y retourne cet après-midi. Faut que je prenne des forces. Le repas était justement prêt. Léo n’en fit qu’une bouchée, sous l’œil surpris mais ravi de ses parents. Le jeune homme prépara ensuite un sac et se rendit à la salle de sport pour la première fois. Il fut impressionné par le nombre de mâles testostéronés qui s’y entraînait. Il y avait tous les ...
«1234...»