Mère au foyer
Datte: 29/10/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
vengeance,
Oral
préservati,
pénétratio,
attache,
yeuxbandés,
confession,
... dans le placard, sous le lit, dans la salle de bain. On se croirait dans une pièce de Feydeau, avec les portes qui claquent et les amants qui disparaissent. Au même moment, on frappe à la porte. Mon mari, imaginant que c’est mon amant supposé, se précipite et se retrouve nez-à-nez avec une femme encombrée d’une valise. Elle sursaute. — Jacques ? Tu m’as fait peur ! Mais que fais-tu là ? Anne, où est Anne ? Il est arrivé quelque chose ? C’est mon amie Jacqueline qui vient de province et pour laquelle j’ai réservé cette chambre. Au bout d’un moment, la tension diminue. Mon mari fait une tête de cent pieds de long. Moi aussi. L’huissier se fait tout petit. Ainsi, mon mari pensait me surprendre avec un amant alors qu’il me retrouve attendre une amie qui a réservé cette chambre. Avant que les deux hommes quittent le lieu, je demande à l’huissier : — Maître, puis-je vous demander de me faire un rapport sur cet incident ? Les soupçons injustifiés de mon mari qui pensait me surprendre avec un amant. La raison de ma présence, seule, attendant mon amie qui avait réservé cette chambre.— Mais certainement, Madame. Je suis ici pour être témoin et rapporter ce moment qui vous disculpe des soupçons injustifiés de votre époux. Et ils quittent la chambre. —ooOoo— Retour en arrière. Il faut revenir à cette fameuse journée, mardi de la semaine dernière, pour vraiment comprendre la succession des scènes qui semblent incompréhensibles. Je viens de résister encore une fois aux assauts d’Hugo et ...
... en suis presque fière. Ainsi, il n’est pas écrit que les femmes – celles à la maison en particulier – cèdent aux tentations. Enfin, pas pour aujourd’hui du moins ; on verra pour plus tard… Pendant qu’Hugo s’absente pour aller aux toilettes, son smartphone émet ledring caractéristique des SMS. Je connais ce bruit : j’ai le même. Le texte s’affiche. Par réflexe, je regarde et découvre : Je n’ai pas vraiment le temps de réfléchir qu’Hugo revient. Il essaie à nouveau de me convaincre de devenir sa maîtresse alors que mon esprit travaille à cent à l’heure. Je fais un terrible effort pour ne rien laisser paraître de ma découverte, et c’est le plus tendrement possible que je le chasse par un « Peut-être… » qui ne lui ferme pas la porte. Après son départ, une tempête se déchaîne dans ma tête. Toutes les hypothèses me ramènent à une seule explication et elle paraît invraisemblable : mon mari m’a envoyé Hugo pour me séduire. Le constat d’adultère n’a qu’une seule explication : il veut me quitter et éviter la pension alimentaire. Les hommes nous prennent pour des cruches, ou au moins pour des handicapées de la techno. Il m’est facile, le soir même, alors qu’il dort à poings fermés – j’ai veillé à le fatiguer par des demandes sexuelles prolongées – de lire dans son smartphone comme dans un livre ouvert. Je comprends qu’il a une maîtresse, une jeune maîtresse de 25 ans, qu’il lui promet de me quitter et qu’il a mis ce plan inique au point pour éviter de me verser ce que je peux demander si ...