Convoitise généreuse - Histoires de Sexe

Convoitise généreuse

... lâcher mon sein. S’il l’embrasse je pars… Mais si je pars il sera pour elle seule. Comme leur baiser est long ! Sa langue doit être dans la bouche de Martine, c’est horrible. Je vais me mettre à pleurer… Non, il se tourne vers moi, et j’ai dans ma bouche sa langue qui explore et caresse la mienne. Victoire ! Sa main gauche a délaissé le sein de Martine pour appuyer sur ma nuque. Je n’ai pourtant pas envie de mettre fin notre baiser, moi ! Pourquoi avais-je fermé les yeux ? Les siens sont si beaux ! Du vert, du bleu aussi, avec du noir au centre. Sa main droite quitte mon sein pour descendre, se glisser sous la ceinture de ma jupe, puis sous l’élastique de ma petite culotte de coton… Je coule comme la fontaine de la place de l’église. C’était si bon que j’ai failli crier. Mais il est déjà debout. — On va dans la carrière ? Je suis à lui, il est à moi. Mais il se tourne vers Martine : — Tu viens aussi ?— Mais bien sûr ! Bon, il nous veut toutes les deux. Eh bien, allons-y ! (retour au sommaire) — Je te préviens, tu vas être déçu du peu.— Même pas peur. Une nana qui raconte sa meilleure expérience en boîte libertine, ça ne peut pas être décevant.— Pas la meilleure, la plus troublante !— Du pareil au même.— Vous, les mecs, y a des choses que vous ne comprendrez jamais. Bon, tu te souviens de Pierre, mon ex ?— Pas vraiment, mais raconte quand même.— Depuis que c’est un ex, on s’entend de mieux en mieux. Sur tous les plans. Donc, si j’ai besoin de compagnie, je l’invite.— Le ...

... garde du corps idéal.— Tu ne crois pas si bien dire. En plus, c’est un lécheur de compétition. Non seulement il tient les indésirables à distance, mais il sait m’allumer rien qu’à tourner sa langue dans ma bouche, ou ailleurs.— En résumé, tu étais en boîte avec lui, bien allumée et encerclée par une poignée de mecs qui mataient vos préliminaires.— Au début, il n’y avait pas encore de mateurs. Juste une autre fille, qui s’occupait de mes seins pendant que Pierre officiait entre mes cuisses. C’est un rituel immuable pour commencer ce genre de soirée. Au moment où je sors de mon premier orgasme, la fille attire mon attention sur un mec qui danse à quelques mètres de nous. Elle précise qu’elle le garderait bien pour elle, mais qu’il semble plutôt s’intéresser à moi.— Belle générosité échangiste, non ?— Surtout que le mec était complètement nu, et que sa manière de bouger était juste époustouflante. En plus, il était grand, le dos large, les fesses musclées, les cuisses solides. Tout ce qui me fait chavirer.— Le fantasme de l’étalon.— Disons qu’il dégageait une incroyable animalité. Son avidité de plaisirs se lisait dans chacun de ses gestes. Superbement obscène sans être jamais vulgaire, il était… magnétique.— Et qu’est-ce qu’il faisait de si animal ou de si obscène ?— Il dansait, les yeux fermés, comme perdu dans ses pensées intimes. Enfin, danser c’est beaucoup dire : il tournait lentement sur lui-même, ancrant ses pieds dans le sol à chaque fois qu’il basculait son bassin vers ...