1. Convoitise généreuse


    Datte: 30/10/2018, Catégories: f, h, ffh, religion, forêt, amour, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation confession, humour, fantastiqu,

    ... pense, la main gauche sur mes seins si durs, et la droite entre mes cuisses. — Le voilà ! annonce Martine, les yeux brillants de convoitise. On le voit venir de loin, sur son vélo bleu. — Ohé ! Ohé ! Martine s’est soudain dressée, elle lui fait de grands signes. — Va-t’en, laisse-moi seule avec lui, m’ordonne-t-elle. Elle me pousse : — Mais va-t’en, enfin ! Fous le camp ! Je m’éloigne. Ils vont aller dans la carrière de pouzzolane, ils se tripoteront, ils feront pire encore. Plus jamais je ne serai amoureuse, ça fait trop mal. Dimanche, au bal, j’irai avec le premier venu, il fera de moi ce qu’il voudra et lui je l’oublierai, je l’oublierai. Il ne la rejoint peut-être pas. Il peut continuer sur le chemin… Non, il monte. Alors je cours reprendre ma place à côté de Martine. Elle ne peut rien me dire, il est déjà tout près. Il nous sourit : — Bonjour ! Il ne s’arrête pas ! Il va plus haut dans le bois. — Il fait chaud, dit Martine. On est bien, à l’ombre… Il y a de la place à côté de moi. Il se retourne. Elle tapote le sol à sa gauche. Il rit : — Entre vous deux, plutôt ! Je bouge pour lui faire de la place. Jamais je n’ai été aussi près de lui ! Sa chemisette est humide de sueur. Ses mollets sont musclés. Ses cuisses aussi, que ne cache pas son short de toile. Martine frétille. Elle lui agrippe le bras : — Tu allais où, comme ça ? Il la regarde : — Mais… plus haut dans le bois.— Tu cherchais quelqu’un ?— Non, pas précisément.— Eh bien, tu m’as trouvée. Elle pose sur sa cuisse ...
    ... une main de propriétaire. Il rit encore, doucement. Mais il mérite mieux que Martine qui ne l’aime pas, qui veut seulement l’inscrire sur son tableau de chasse, un de plus. Moi je l’aime et je veux le rendre heureux. Et moi aussi je peux poser ma main sur sa cuisse ! — Tu veux que je parte ? Encore il rit. Mon dieu que son rire est clair, et son sourire adorable ! — Mais non, reste donc ! Il passe ses bras autour de nos épaules et nous voilà toutes les deux appuyées contre lui. Son souffle sur mes cheveux noirs, puis sur les cheveux blonds de Martine. — Vous pouvez bien rester toutes les deux… Sa main cesse de tenir mon épaule pour descendre frôler mon chemisier, juste au-dessus de mon sein droit. C’est moi qu’il préfère. …Non, il fait pareil de l’autre côté ! Pire, même, parce qu’il a glissé sa main gauche dans le corsage de Martine. Elle roucoule. Il passe un doigt sous son soutien-gorge. Mais moi aussi j’ai des seins qui lui plairont, personne ne les a encore touchés, ils sont pour lui alors qu’est-ce qu’il attend ? Je cale mon dos contre sa poitrine, sa main droite n’a qu’à se glisser dans l’échancrure de mon chemisier, je n’ai pas de soutien-gorge, moi, et Martine n’aura qu’à partir ! Voilà, mon sein droit est à lui. Ses lèvres sont dans mes cheveux. Il suffit que je tourne la tête pour qu’elles rencontrent les miennes, trop brièvement hélas mais comme il bat follement, mon cœur ! — Et moi ? Martine ose demander sa part ! Il rit une fois de plus, se tourne vers elle sans ...
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