1. Conclure


    Datte: 30/10/2018, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... perruque à longs cheveux. - Tu peux m’observer et m’offrir un café. Ne fais pas l’étonné. Richard m’a dit que c’est toi qui m’a envoyé Richard à l’étage.Je viens te remercier. Tu devrais avoir honte de la lâcheté du procédé. Mais comment savais-tu où je me trouvais ? -Julie devait être chez toi pour préparer son voyage. J’ai pensé que vous consultiez l’inspirateur de toute cette mascarade. Je cours souvent avec André que je soupçonnais de se cacher derrière la liposuccion pour emballer la mère de mon fils. J’avais de bonnes raisons de douter de son honnêteté. J’ai donc décidé de vous trouver et je suis monté. La porte n’était pas fermée, j’ai entendu des voix , poussé doucement la porte de la chambre et découvert le contenu de votre réunion: vous étiez en pleine partouze, deux femmes nues en train de tenter de redresser son mât petit, mou. - Tu aurais dû partir. - Cela m’aurait évité d’assister à l’union de leurs sexe grâce au concours actif de ta bouche et de tes mains - Tu as assisté ? Malheureux. Il fallait bien que cela arrive Donc, maintenant tu sais. Or je ne viens pas pleurer ou t’accuser. Je viens te mettre en garde. Tu me fais de la peine. Julie n’est pas digne de toi. Je le pense depuis toujours. Tu n’as pas choisi la meilleure des trois cousines. - C’est mon problème. - Simplement as-tu vu ta Julie depuis hier soir ? - Non, elle est rentrée tard. - Je sais je l’ai ramenée avec André. - Tiens. Elle est partie tôt sans me réveiller ce matin. - Ca ne m’étonne ...
    ... pas. Je lui ai rendu visite au salon de coiffure. Elle est méconnaissable. Richard nous a tapé dessus comme un fou furieux. Je suis couverte de bleus, tu veux voir ? L’imperméable glisse, la meilleure des trois cousines, est debout devant moi sur ses talons rejette sa perruque et m’apparaît encore plus décharnée que chez André, ne peut retenir ses larmes. A hauteur de visage je reçois la vue des bleus sur les hanches et le spectacle cru de sa vulve aux grandes lèvres boursouflées - Oui, richard ne m’a pas laissée dormir, il m’a montré qu’il était capable de me baiser toute nuit et il m’a promis de recommencer ce soir, avec des jouets s’il le faut. J’ai peur, il va me tuer , je suis éreintée. C’est affreux. Il a forcé Julie à me couper tous les poils. Puis j’ai dû raser ta femme. Elle n’est pas belle à voir, tu sais. Elle aussi… - Quoi, Richard a tringlé Julie ? Elle avait tellement envie de baiser…Mais c’est un salaud ! C’est ça son esprit de famille? Je vais le descendre. - Ne t’emballe pas. Richard l’a cognée, obligée à jouer à la coiffeuse et au barbier sur moi et sur André Elle a les fesses aussi bleues que mon œil. - Ca passera. Elle a donc désormais d’excellentes raisons de se faire retoucher. - Sans cœur ! Elle n’arrête pas de pleurer et redoute par dessus tout de rentrer à la maison et de devoir te raconter ce qui lui est arrivé. Me permets-tu d’aller la consoler et lui assurer que tu sauras pardonner un écart. Chacun de nous est faillible. Une fois, ça passe. Sois ...