Corps fous
Datte: 31/10/2018,
Catégories:
fh,
inconnu,
plage,
hotel,
amour,
Oral
pénétratio,
... deux mille kilomètres pour venir voir une femme comme moi, alors qu’il a les moyens d’avoir des tas de filles à ses pieds.— T’en fais pas un peu trop ?— Je suis réaliste : il ne viendra pas. --ooOoo-- Mais voilà, contrairement à ce que j’aurais cru, il est venu. Il est là, devant moi, avec un bouquet de fleurs dans les mains. Soyons franche, je l’espérais bien un peu, je le désirais, mais, l’expérience m’a appris qu’entre ce que les hommes disent et ce qu’ils font, il y a souvent une très grande marge… Je me jette dans ses bras ! Je répète sans fin : « Tu es venu, tu es venu ! » Nous sombrons dans le canapé, je l’embrasse furieusement follement, je griffe son dos à travers sa veste et sa chemise, je n’en peux plus, je le veux ! Avec une rapidité folle, je le déshabille, tandis que j’ôte mes vêtements sans soin à travers la pièce. Je le plaque au fin fond du canapé, pas de préliminaire, pas de câlin, pas de caresse, c’est lui que je veux en moi pour étancher ma soif, ma faim. Sans fioriture, je saisis son sexe déjà dressé, je m’accroupis au-dessus de lui, et sans préambule, je m’empale sur sa tige qui me manquait tant. Je pousse un intense soupir de soulagement quand sa bite s’enfonce au plus profond de moi. Je veux qu’il m’en mette partout, je veux qu’il me prenne, je veux du sexe, de la sueur, du bestial ! J’ai trop envie de lui pour chercher à rester civilisée ! Que je sois chienne, pute ou salope, je m’en fiche : je le veux à moi, rien qu’à moi, rien que pour moi ! ...
... Enfichée sur son sexe dur, je bouge mon bassin pour mieux le ressentir, pour mieux me visser sur lui ! Il saisit mes seins, mes tétons, il pétrit mes chairs comme j’aime qu’il le fasse, il martyrise mes pointes comme j’adore qu’il me torture. C’est bestial, sans un seul gramme de douceur, mais c’est si bon ! Être vissée en lui, plantée sur lui, deux corps qui se veulent, mes ongles sur ses bras, ma jouissance qui vient, qui monte, lentement, irrésistiblement, crescendo, ces éclairs dans ma tête et devant mes yeux… J’explose, j’éclate, je m’éparpille en mille fragments de bien-être, de plaisir, je me cabre une dernière fois, c’est si fort, c’est si bon ! Trop bon ! Un dernier râle diffus et je m’effondre sur lui… Rompue… Vaincue… Repue… Quelques minutes plus tard, c’est ma chambre qui devient un champ de bataille. Ewan est déchaîné et moi, je ne suis guère plus calme. J’en viens à craindre pour mon lit ; les voisins, je m’en fiche royalement ! Au bout de trente-six positions à faire rougir les habitués du Kamasutra, les lèvres gonflées et rougies, le corps repu et épuisé, la chatte remplie et débordante, le cul fendu et comblé, je me niche tout contre mon amant. Le sommeil nous surprend ainsi. Je me dis que tout va bien pour le mieux dans le meilleur des mondes, même si je n’ai toujours pas bien compris en quoi son métier consistait exactement, disons que j’ai peut-être un peu peur de le savoir. Ça doit être magouilles et compagnie… Peu importe, pour tout le reste, il vaut largement ...