1. Corps fous


    Datte: 31/10/2018, Catégories: fh, inconnu, plage, hotel, amour, Oral pénétratio,

    ... vrai que la dernière fois, il m’a bien menée à l’arrêt de bus, sans entourloupe. Sauf quand nous sommes arrivés à ce fichu arrêt de bus… Je respire un grand coup, je demande : — Vous me promettez de ne pas avoir de geste déplacé ?— Promis !— Sûr et certain ? Je peux vous faire confiance ? Vous n’allez pas m’embrasser comme la dernière fois ?— Sûr et certain, je ne vous embrasserai pas comme la dernière fois.— OK… Je me retourne, je rougis sous son regard. Il attrape le haut de mon décolleté, je me recule instinctivement. Il sourit, il resserre ensuite les deux bandes de tissu, puis il attrape la tirette qu’il fait aller de droite à gauche. D’un geste assuré, il descend celle-ci tout en bas, je pousse un petit cri : le salaud, il en profite un max ! Je m’apprête à l’injurier quand, d’une seule traite, il referme mon décolleté jusqu’en haut. Je ne sais plus quoi dire. — Voila, chère inconnue, mission accomplie.— Euh… merci…— Pas de quoi, tout le plaisir était pour moi. Je lui tourne le dos à nouveau afin de vérifier s’il n’y a pas de problème avec ma fermeture éclair. J’ouvre et je ferme par trois fois : non, pas de problème, tout va bien. Puis je lui fais face : — Merci, tout est OK !— Vous m’en voyez ravi, bien que je préfère quand c’était plus ouvert !— Je n’en doute pas. Je dois vous reconnaître une qualité, vous tenez parole. Vous en avez une autre : vous dites ce que vous pensez, mais c’est plutôt gênant pour les autres, surtout dans mon cas !— En effet, je tiens ...
    ... toujours parole, même si je joue souvent sur les mots…— C’est-à-dire ?— Ceci ! Et sans crier gare ou quoique ce fut, il m’attire à lui, il plonge son nez dans l’échancrure du maillot et m’embrasse entre les seins. Je suis tellement stupéfaite que je ne réagis pas sur le moment, et il en profite allègrement ! Mais, comme la dernière fois, je finis par réagir, et je le repousse furieusement ! — Vous êtes un grand malade !— J’ai tenu parole.— Vous n’êtes qu’un sale porc lubrique ! Oui, ça va, j’ai compris ! Non, vous ne m’avez pas embrassé comme la dernière fois ! Espèce de malade !— J’en avais trop envie.— Ce n’était pas une raison pour le faire ! Il croise les bras sur son torse nu. C’est alors que je réalise qu’il n’est pas trop mal de sa personne, il est même moins velu que je ne le pensais. Il regarde les montagnes au loin, puis tourne la tête vers moi. Je suis, malgré moi, un peu troublée par son regard. — Puis-je vous poser une question, excitante inconnue ?— Si je dis non, vous la poserez quand même !— En effet. Je peux ?— Pff ! Posez-la et qu’on en finisse !— Pourquoi êtes-vous toujours là face à moi, alors que vous auriez pu vous enfuir ?— Euh… Alors là, il m’en a posé une bien bonne de question. Le pire, c’est qu’il a raison. Par pure logique, j’aurais dû regagner la plage depuis un certain temps, et au lieu de cela, je reste plantée devant lui ! — Vous savez, il n’est pas trop tard pour que je fiche le camp !— Si, il est trop tard, car maintenant, je vous rattraperai ...
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