1. La main droite de la nuit


    Datte: 31/10/2018, Catégories: ff, jeunes, copains, intermast, Oral Masturbation

    ... — Attends, ne bouge pas ! m’intima Jo, comme si je pouvais faire autrement. Elle glissa un doigt le long de ma fente, le faisant pénétrer progressivement jusqu’à la jonction métacarpienne et repartir dans l’autre sens tout aussi lentement, dans un geste fluide et continu. Puis elle se pencha en avant, augmentant au passage la cambrure de son dos et rapprochant imperceptiblement ses fesses de ma tête. Bandante ! Une douceur liquide incomparable vint caresser mon clitoris encore tout dur. Sa langue se faisait à la fois molle et précise, tantôt léchant consciencieusement, tantôt laissant un souffle d’air rafraîchir la surface humectée. Pendant ce temps, son doigt continuait ses délicieuses allées et venues. Elle relâcha l’étau de ses jambes. J’attrapai sa main sur sa cuisse et la serrai dans la mienne. Je croyais n’avoir pas envie de sexe, et voilà que j’en voulais encore et encore. Un second orgasme, plus puissant, m’envahit à nouveau. Elle était méchamment douée. — Jo, je ne sens plus mes jambes…— Oups ! Désolée, ma chérie. Ça va mieux ? Elle s’assit en tailleur à ...
    ... côté de moi, cheveux en bataille, lèvres encore humides. Je hochai la tête doucement pour ne pas trop secouer les étoiles encore à l’intérieur. — Millodiou, ce que c’est bon…— À votre service, Madame. Il vous faut autre chose, Madame ?— Décidément, t’aurais dû faire du théâtre au lieu des lettres mortes.— Anciennes, lettres anciennes ! Ou classiques, si tu veux, à la rigueur.— OK, l’Ancienne ; il me faut une douche. Je me levai péniblement, comme si la gravité jupitérienne s’était abattue sur moi. En ouvrant la porte je tombai nez à nez avec Tom qui sortait de sa chambre, adjacente à la mienne. — T’étais pas parti en cours ? demandai-je en cachant mon effroi. Il ne pouvait pas ne pas avoir entendu mes cris. — Non, le prof n’est pas là alors j’ai révisé ma philo. Je vais faire des courses ; il vous faut quelque chose ? Jo s’était relevée aussi et avait passé la tête dans l’entrebâillement de ma porte. — Merci ; mais non, Tom, on a tout ce qu’il nous faut… Puis elle me poussa vers la salle de bain. — Je viens avec toi ; je crois que tu as besoin d’un coup de main ! 
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