1. Ce n'était qu'une simple soirée (15)


    Datte: 01/11/2018, Catégories: Hétéro

    Laurence et moi montons à l’étage. Nous entrons dans sa chambre. Un lit immense trône au milieu de la pièce. Laurence tire les draps et m’invite à la rejoindre sur la couche. Je la trouve soudain particulièrement hésitante, comme si elle avait perdu son assurance en entrant dans la pièce. A la manière dont elle me caresse et m’embrasse, j’ai l’impression qu’elle semble presque émue. Douceur, tendresse. Nos corps restent enlacés, unis, comme pendant ce 69 où nos corps ne font qu’un. Laurence m’enfile un préservatif et je glisse entre ses jambes, couché sur elle, l’embrassant encore et encore. Elle jouit à deux reprises, intensément mais discrètement. Notre ébat est sublime de tendresse et de douceur. Trempée de sueur, Laurence a un troisième orgasme. Elle me serre alors contre elle et dit : — Florent, j’ai envie que tu viennes derrière. Je me redresse un peu. Que dois-je comprendre ? Elle plonge son regard dans le mien. — J’ai envie que tu me sodomises. Je l’observe, surpris. — Il y a ce qu’il faut dans la table de nuit. Je me retire, attrape le tube de lubrifiant et commence à la préparer tout en l’embrassant. Je suis derrière elle, en cuillère. Nos baisers ne cessent pas tandis que mes doigts glissent dans son anus. Après quelques minutes, elle dit : — C’est bon. Viens. Une noisette de lubrifiant sur mon gland et je me place à l’entrée de son petit trou. Je pousse doucement, elle résiste à peine et je la pénètre. Quelques allers-retours et je suis bien dedans. Toujours en ...
    ... cuillères, j’enlace Laurence tout en l’embrassant. A l’image de notre rapport, la sodomie est extrêmement douce. Mon excitation, elle, est à son plus haut point et mon orgasme est magnifique. Je me retire, Laurence ne bouge pas. Elle pleure. — Je pense qu’Elise t’a fait un portrait peu avenant de ma personne. Elle t’a certainement dit qu’il y avait nombre d’hommes qui défilaient. Elle n’a pas tort. Mais pas pour les raisons qu’elle imagine. En réalité, je suis seule, très seule. Le test de la première fois est mon évaluateur. Tous échouent et ceux que je ne jette pas, échouent au second test. Le même que le premier, mais en soirée. Elle marque une pause puis reprend : — Florent, je ne sais rien de toi, mais aucun homme n’avait couché dans ce lit depuis le père d’Elise. Et aucune homme ne m’avait sodomisée depuis lui. Tu peux demander à Elise. J’ai toujours utilisé la chambre d’amis avec mes partenaires. Nouvelle pause. — Tu m’as baisée comme un diable et tu m’as fait l’amour comme un dieu. Elle se tourne, les yeux rougis. — Je n’ai pas l’habitude de me mettre à nu ainsi et… j’ai envie de te revoir. Nous nous embrassons tendrement. Que répondre ? Il y a 4h, nous ne nous connaissions pas. En deux ébats, je sais également qu’elle est une partenaire sexuelle rêvée et parfaite. Douce et coquine, câline et perverse, délicate et lubrique, l’eau et le feu, la sainte-nitouche et la délurée. Je propose : — Demain soir pour un resto. Elle m’embrasse à nouveau. — J’ai des cours en soirée ...
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