Ce n'était qu'une simple soirée (15)
Datte: 01/11/2018,
Catégories:
Hétéro
... cette semaine. — Mardi midi ? — Mardi midi, oui. Tu veux qu’on se retrouve ici ? — Non, je préfère qu’on se voit au restaurant. Laurence sourit. Je justifie. — Même si j’ai très envie de coucher à nouveau avec toi, je veux aussi apprendre à te connaitre. Elle passe à cheval sur moi et je retrouve la Laurence piquante de la terrasse. — Et si j’ai envie ? — On ira aux toilettes. Ou ailleurs. — Mmmmh… Ça me plait bien… Un long baiser. Je lui fais ensuite un clin d’œil. — Si tu penses que tu auras envie, ce serait plus simple que tu mettes des vêtements… pratiques ! Elle rit. — Au travail, je suis toujours en tailleur. Je choisirai une jupe qui se remonte facilement au-dessus des fesses. Avec un chemisier moulant, des talons hauts et une jolie parure de lingerie avec un string très fin, ça irait ? Je ris et imaginer sa tenue me fait durcir mollement, mais suffisamment pour que ma bite heurte doucement les fesses de Laurence. Elle dit en riant : — Je crois que j’ai ma réponse ! Elle lève les fesses, m’enlève la capote et se rassied sur ma verge en s’y frottant. — Ça ne repartira pas si vite, désolé ! Elle sourit étrangement. Je bande mou, mais cela semble suffisant pour elle. Suffisant pour que, d’un habile mouvement de bassin, elle dirige mon sexe dans le sien et l’introduise entièrement. Elle reste ainsi quelques secondes avant de se retirer. Il est 16h. Après quelques derniers baisers, Laurence se lève et dit : — Je dois aller chercher une amie à l’aéroport. Il faut que je ...
... me prépare. Je l’accompagne à la salle de bains pour une rapide toilette avant d’aller chercher mes vêtements sur la terrasse. Je remonte regarder Laurence se vêtir, allongé dans lit. Dessous bleus pour robe bleue. Je la complimente et j’aime déjà la voir rougir à mes mots. — Souvent en robe ? — Tu trouveras très peu de pantalons dans mes armoires. A 99% du temps, je suis en jupe ou en robe, oui. — J’aime ça ! Elle rit puis se maquille succinctement. Elle regarde le réveil. — 16h25, il faut que j’y aille ! Nous descendons et tombons nez à nez avec Elise qui vient de rentrer. Elle dit : — Je me demandais où vous étiez. Elle sourit d’un air entendu. Sa mère ne relève pas. — Je vais chercher Annie à l’aéroport. Florent allait s’en aller, mais comme tu es rentrée… Bref, débrouillez-vous, je vous laisse. Elle sort et quelques instants plus tard, nous entendons le moteur de la voiture qui vrombit. Elise dit alors : — Je ne l’ai jamais vue aussi heureuse après avoir couché avec un homme. Je n’aime pas le ton qu’elle utilise. Je ne réponds pas. — Voilà le deal : si tu veux revoir ma mère, il va aussi falloir que tu couches avec moi, chaque fois que j’en aurai envie. Si tu refuses, je lui montre les échanges de messages et la photo. Je dois faire un violent effort pour me contenir. — Petite pute… — C’est à prendre ou à laisser. Elise fait alors tomber son short et son string avant de se pencher sur le dossier du fauteuil pour y prendre appui. Les jambes droites, elle m’offre son ...