Ma Vie Ch. 03
Datte: 02/11/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
... sirotant leur apéritif. Moi, j'étais dans un état de choc, inerte, ne pensant à rien, absorbant par moment une gorgée de bourbon. N'étant pas habitué à l'alcool, je me sentais légèrement gris et ça me faisait du bien. À un moment, Carole me demanda de les resservir. En me relevant, je pris conscience que j'avais fini enfin par presque débander. Après avoir resservit un verre à chacun, je vins me rasseoir par terre à ses pieds. À peine étais-je que Carole, retirant une chaussure, passa doucement son pied sur mon sexe. Le contact rêche du nylon de son bas était vaguement irritant, mais la chaleur de son pied ne tarda pas à me faire bander à nouveau. Elle faisait ça tout en discutant et ma belle-mère ne pouvait s'apercevoir de ce qui se passait, caché par la table basse. Le frottement de son pied commençait à devenir vraiment agréable et je sentais le plaisir monter en moi. Je luttais pour retarder la jouissance. Il était impossible que je jouisse comme ça sur les pieds de ma femme devant sa mère. Au moment précis où je sus que je ne pourrais plus me retenir, elle retira son pied. Pendant un instant, je crus que c'était trop tard, je sentais ma verge tressauter, j'étais à l'extrême bord de la jouissance...et puis cela passa et je me retrouvais là, la tête sur mes mains. Madame Leroy s'aperçut de mon malaise. « Pascal, ça ne va pas » Elle me regardait avec un air vraiment inquiet. Le souffle court après ce presque orgasme, j'essayais de me composer un air détendu. « Si, si ça va ...
... » Carole rompit cette situation embarrassante en se levant brusquement. « Bon, allez, on passe à table » Les deux femmes s'approchèrent de la table et ma belle-mère s'aperçut des deux assiettes. « Pascal ne mange pas? » « Non, il a déjà mangé» C'était faux, je n'avais rien mangé depuis le matin et je commençais à avoir faim. Je me relevais avec la tête qui tournait. J'étais à nouveau en pleine érection, ce qui ne leur échappa pas, mais elles ne firent aucune remarque. Après mes deux verres, je me sentais un peu saoul et la honte continuelle que je ressentais s'était un peu atténuée. Le repas se passa comme dans un rêve. Je faisais le service, me tenant debout auprès de la table, resservant les verres quand ils étaient vides, débarrassant les assiettes et apportant les plats. Ma nudité était devenue presque naturelle. Elles ne s'intéressaient plus à moi, discutant entre elles comme elles l'auraient fait au restaurant. Après le dîner, elles prirent le café dans le salon, moi à nouveau assis aux pieds de ma femme. Puis, Madame Leroy partit, faisant la bise à sa fille et me saluant d'un geste de la main.Une fois seule, Carole me fixa. « C'était très bien Pascal, je te remercie » Je ne savais pas quoi répondre et elle n'attendait pas de réponse. « Bon allez, on va se coucher » J'étais trop brisé émotionnellement pour envisager de faire l'amour et ce n'était pas non plus son intention. Nous nous endormîmes, dans les bras lune de l'autre et pour la première fois, elle me susurra à ...