Ma Vie Ch. 03
Datte: 02/11/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
... l'oreille « Je t'aime » Le plaisir que j'éprouvais à cette déclaration effaça d'un coup l'enfer que j'avais vécu durant cette soirée À partir de cette date, il fut convenu que je reste nu quand j'étais à la maison le week-end. Au lit, Carole insistait de plus en plus fréquemment pour que je la fasse jouir avec ma langue mais était moins disposée à me laisser la pénétrer et je me retrouvais souvent, excité comme un fou tandis qu'elle se retournait pour s'endormir. Au début, j'essayais de m'endormir également, mais mon excitation rendait cela difficile. Et puis, je pris l'habitude de me masturber pour faire tomber ma tension. Se masturber auprès de sa femme endormie, imprégné de l'odeur et du goût de sa chatte, le visage collant de sa mouille, peut paraître bizarre, mais je m'aperçus que j'en tirai une sorte de plaisir masochiste. Ma mère et Madame Leroy vinrent manger plusieurs fois à la maison. Carole les invitaient un soir de semaine et tout se passait absolument normalement,. J'étais habillé et je mangeais avec elles, même s'il était évident maintenant que c'est moi qui faisais le service. La première fois que je revis Madame Leroy, je fus un peu intimidé, mais elle ne fit aucune allusion à ce qui c'était passé La connaissant un peu mieux, je découvris une femme intelligente, cordiale...et très proche de sa fille. La vie semblait être redevenue parfaitement normale, si ce n'est que je passais le week-end nu, week-ends durant lesquels Carole prenait un malin plaisir à me ...
... faire bander, et parfois à m'amener au bord de la jouissance sans jamais aller plus loin. Je m'apercevais qu'elle prenait un malin plaisir à m'amener au bord de la jouissance. Elle avait une sorte de génie pour savoir l'instant précis ou il fallait qu'elle arrête et nous regardions tous les deux mon sexe tressauter, au bord ultime de du plaisir sans que l'explosion libératrice ne se produise. Elle s'était procuré, je ne sais comment, un cock-ring constitué d'une sorte de menotte épaisse en d'acier qu'elle serrait derrière mes testicules. Avec ce cock-ring en place, une fois que je rentrais en érection, j'y restais pendant des heures, jusqu'à ce que ça devienne douloureux et que je la supplie de me l'enlever. Et , bien sûr, elle profitait de mon érection continuelle pour m'amener au bord de la jouissance à de multiples reprises, me laissant en sueur, avec une seule idée dans la tête : jouir. Il est clair que ces soirs-là, j'attendais avec impatience qu'elle s'endorme pour me masturber et jouir enfin. Notre vie sexuelle était sans doute inhabituelle. Je lui donnais tout le plaisir qu'elle me demandait tandis que, de plus en plus, elle restreignait le mien. Petit à petit, nous avions trouvé une harmonie dans cette relation déséquilibrée. Je me rendais compte au fil du temps de ma part de masochisme...et de sa part de sadisme. À côté de cela, il arrivait très souvent que nous nous embrassions, que nous nous caressions tendrement, que nous nous endormions dans les bras l'un de ...