1. A quoi tient la vie d'un couple... (5)


    Datte: 05/08/2017, Catégories: Erotique,

    ... Ouiiiii !... Je ne sais pas ce qui m’enthousiasmait le plus dans ce programme de la journée !? Etait-ce l’escapade à Nantes ou pas plutôt les cochonneries que nous allions immanquablement faire dans son atelier les deux ?! En tout cas, je me lève précipitamment de table et demande où est le fameux établi à ranger. — Et bien dis-donc, Axelia… j’ai rarement vu des jeunes de ton âge aussi motivés quand il s’agit de faire du rangement !? Prends-en de la graine de ta copine, Geoffrey… car il me semble me souvenir que tu avais beaucoup de mal à ranger ta chambre. — Mamie, il m’arrive aussi de ranger !... répond Geoffrey avec une pointe d’agacement dans sa voix. Je souris intérieurement, avec malgré tout un sentiment de compassion pour mon copain. Le pauvre Geoffrey, qui tenait absolument à me présenter à ses grands-parents, vit sans aucun doute un début de vacances cauchemardesque car, en plus de me voir le cocufier, ses aïeux me citent régulièrement en exemple pour lui faire la morale. Toujours debout sur la terrasse à quelques mètres de la table, un profond trouble m’envahit… Perdue dans mes pensées, je me demande comment notre couple allait ressortir de cet épisode, et la seule réponse à mon interrogation était « en miettes ». Je me fais d’ailleurs la réflexion que j’ai de la chance qu’il ne m’ait pas encore jetée et obligée à rentrer chez moi par mes propres moyens. Pendant tout le restant de la matinée, bien que toute proche de lui à plusieurs occasions, je n’essaye même pas ...
    ... d’aguicher Roger, l’esprit hanté d’un sentiment coupable. Etonnamment, lui non plus ne tente rien, pas même une main baladeuse… Sent-il mon désarroi ? A-t-il un don pour lire dans mes pensées ? Cette dernière idée me terrorise d’ailleurs toujours autant… L’établi et plus largement tout l’atelier du grand-père se rangent ainsi dans un silence pesant. Néanmoins, alors que Roger est parti vérifier que tout allait bien pour Geoffrey et son chantier, je me surprends à défaire le bouton de mon short et à glisser une main en direction de mon pubis, l’autre main effleurant le bout de mes tétons à travers l’étoffe du chemisier. Quelle sensation exquise ! Tout de suite, je ferme les yeux et laisse échapper un gémissement de plaisir. — Hmmm !... Mes doigts se font d’un seul coup plus précis, écartant ma petite culotte en dentelle pour s’immiscer aux lèvres charnues qui marquent l’entrée de mon sexe. Tout s’enchaîne… prise dans un tourbillon de sensualité et de plaisirs, je dégrafe trois boutons de mon chemisier et m’empresse de l’ouvrir pour libérer mes deux petits seins de tout carcan. Ma main gauche joue de leurs réactions en en caressant et titillant les bourgeons turgescents. — Ohhh !... Oh ouiii !... Hmmm !... De mon autre main, je fais glisser la fermeture éclair de mon short et le laisse choir à mes pieds, puis je reprends immédiatement l’exploration de mon intimité. Il ne me faut d’ailleurs pas attendre bien longtemps pour sentir ma petite fente se mettre à couler de l’intérieur. ...