1. A quoi tient la vie d'un couple... (5)


    Datte: 05/08/2017, Catégories: Erotique,

    ... Toute haletante, j’y introduis donc un doigt, puis deux… trois… et enfin quatre… m’adossant à l’établi pour ne pas tomber… Je jouis une première fois, les jambes flageolantes et le cœur battant la chamade… mais il m’en faut plus ! Instinctivement, comme si cela sonnait comme une évidence, je saisis la massette accrochée au mur à côté de l’établi et approche le manche de mon sexe. Des décennies d’utilisation conventionnelle de l’outil – enfin, j’ose le présumer – avait poli et lissé le bois, et notamment l’extrémité de ce sextoy de circonstance. Après avoir fait suivre à ma petite culotte le même chemin qu’à mon short, puis joué un instant avec les poils de mon pubis, c’est donc tout naturellement que je positionne l’objet de tous mes désirs à l’entrée de mon puits d’amour, écartant légèrement les cuisses pour en faciliter l’accès. Une fraction de seconde d’incertitude… puis, tout doucement, je commence à introduire ce phallus inerte mais si dur qu’il n’a aucun mal à se frayer un chemin, aidé en cela par l’abondante mouille qui coule dans ma chatte. Je ferme de nouveau mes yeux afin de concentrer toute mon attention sur cette pénétration peu orthodoxe et source malgré tout d’une légère appréhension étant donné la longueur de l’objet. Néanmoins, très vite, je ressens les premiers frissons de plaisir avec le contact du bois patiné sur mes parois vaginales à la sensibilité exacerbée. — Oh oui !... Oh oui !... ...
    ... Hmmm !... Toujours adossée à l’établi pour ne pas partir vers l’arrière, j’écarte un peu plus encore les jambes et commence à faire coulisser le manche en de longs va-et-vient, poussant à chaque fois un peu plus ce gode improvisé pour bientôt me retrouvée avec les presque vingt-cinq centimètres en moi et la tête en métal contre mes grandes lèvres. J’adore cette sensation… j’accélère encore le mouvement, mon bassin ondule pour faire corps avec cet objet phallique. Mes jambes se dérobent… Je jouis… Je me retiens à l’établi pour rester debout… mais c’est déjà trop tard !... Je chavire, emportée par un violent orgasme comme jamais je n’en avais eu auparavant. Tout mon corps tremble de jouissance ! Je crie, je hurle de toute ma voix qui résonne dans ce local étriqué… Le souffle court, je sens mes forces m’abandonner… je lâche la massette qui s’échappe de mon vagin et tombe sur le sol en ciment dans un bruit métallique. dntdyyvs Un genou à terre, j’ouvre enfin les yeux et… en face de moi, à l’entrée de la pièce, Geoffrey et Roger sont là debout, immobiles, silencieux. Les secondes me paraissent une éternité. Je baisse la tête pour ne pas avoir à croiser leurs regards… Au bout d’un moment, c’est le grand-père qui rompt le silence… — Eh ben, cré nom de vingt dieux… si on m’avait dit qu’un jour ma massette de terrassier allait donner autant de plaisir à une aussi jolie femme, j’en aurais pris beaucoup plus soin !? 
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