1. 7 juin-14 juin


    Datte: 03/11/2018, Catégories: fh, ffh, jeunes, alliance, Collègues / Travail vacances, plage, noculotte, photofilm, Masturbation Oral 69, fgode, pénétratio, fdanus, fsodo,

    ... novice comme moi— C’est dommage que ce ne soit pas le ménage lui-même qui t’inspire, car j’aurais eu l’un des appartements les plus propres de la capitale.— Et j’ai compris pourquoi Domi disait que ce n’était pas possible de voir les photos.— Elle qui voulait que ces photos restent entre nous. Je me demande ce qu’elle dira quand elle saura que tu les as trouvées.— Et… si elle ne le sait pas ?— Ah non ! Pas de cachotteries. Ça finit trop souvent en eau de boudin.— Excuse-moi. Tu as raison. Je lui dirais demain. Et j’ai une idée. En compensation on lui montrera les miennes. Tant d’innocente perversité me laisse sans voix. Après avoir hésité, je finis par lui demander : — Hier, comment nous as-tu surpris Anne et moi ? Elle n’a pas d’embarras pour me répondre : — En revenant du déjeuner, je m’étais aperçue que j’avais oublié des documents à la maison. J’ai donc décidé d’aller les chercher. En rentrant, j’ai entendu maman crier. Je me suis avancée pour voir ce qui se passait. Par la porte ouverte du salon, je vous ai vus tous les deux. Elle était à genoux sur le canapé. Tu étais en train de la prendre. J’ai été tétanisée. Vous vous êtes séparés, tu t’es allongé sur le canapé et elle est venue sur toi pour s’empaler sur ta queue, t’embrasser. J’aurais voulu m’enfuir, mais je ne pouvais pas. J’étais clouée sur place sans pouvoir bouger, horrifiée et fascinée à la fois. Quand Maman a crié de nouveau, cela m’a sortie de ma stupeur. Je suis partie. J’étais troublée d’avoir vue Maman ...
    ... en femme. J’étais furieuse, tu trahissais Domi qui m’avait dit la veille au soir pour vous deux, avec Maman en plus. Je dois avouer que cette colère était aussi alimentée par une intense jalousie. Et cette jalousie me culpabilisait. Bref je me sentais très malheureuse. J’ai marché dans les rues. Et j’ai fini par décider d’aller m’expliquer avec toi. Je suis revenue ici et j’ai ouvert avec la clef que tu m’avais laissée. Je ne m’attendais pas à te trouver nu. Cela m’a troublé et j’en étais d’autant plus enragée. Comme je ne parvenais pas à exprimer ce que je voulais te dire, j’ai voulu avec le vase me sortir de cette impasse. Quand je t’ai vu t’écrouler la tête en sang, j’ai cru t’avoir tué. Toute ma rancœur s’est envolée et… et tu connais la suite. Heureusement tout est bien qui finit bien.— Je crois que ce n’est pas qu’une fin, mais aussi un commencement.— Est-ce que je peux rester dormir ici cette nuit ?— Bien sûr ma chérie. Mais Anne et Dominique ne vont-elle pas s’inquiéter ? Il faudrait peut-être les avertir.— Elles savent que je suis chez toi, elles ne s’alarmeront pas. Mais tu as raison, je vais téléphoner ce sera mieux. Nous nous habillons et descendons à la cabine. Tandis que Gwendoline téléphone, je pense qu’il faudra que je me décide à faire une demande de ligne téléphonique. Quand elle sort, elle me dit : — Je suis tombée sur Maman. Elle m’a dit que, ne me voyant pas revenir, elles s’étaient doutées que je m’étais attardée auprès de toi. Nous remontons à la maison. ...
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