7 juin-14 juin - Histoires de Sexe

7 juin-14 juin

... Après nous être déshabillés, je retire mon pansement, pour que ma blessure puisse respirer. Nous allons ensuite nous coucher. Gwendoline s’endort rapidement, la tête sur mon épaule. Je repense à cette folle journée durant laquelle Anne, Dominique et Gwendoline - une mère et ses deux filles - ont accepté et même m’ont proposé d’être leur amant commun. Ce doit être un rêve dont je vais me réveiller. La présence de Gwendoline contre moi me prouve pourtant le contraire. Cela me fait repenser à son dépucelage - par erreur - la nuit dernière. Soudainement il me revient que je me suis répandu en elle et qu’elle ne prend pas la pilule. Cette idée me trotte dans la tête, m’empêchant de rejoindre rapidement les bras de Morphée. Peut-être vaudra-t-il mieux que je lui en parle demain. Sekhmet vient me piétiner pour faire un petit câlin. Je la gratouille derrière les oreilles et sous le menton. Je lui lisse les moustaches et lui flatte le dos. Elle ronronne de bonheur. Au bout de dix minutes, je lui fais comprendre que j’aimerais passer à d’autres activités. Elle saute à terre de mauvaise grâce. Je me tourne vers Gwendoline toujours endormie. Pour l’éveiller, je l’embrasse doucement. Elle s’étire, ouvre les yeux et me sourit. Je lui annonce : — Il est l’heure de nous lever, il est déjà 8 h 30 passées.— Es-tu sûr ? me demande-t-elle en lorgnant vers mon érection matinale.— Aurais-tu fait du ménage cette nuit ?— Non, non, rassures-toi.— Je n’ai pas peur.— Il m’a appris les principes de ...

... base. Pour les applications pratiques, il n’est pas indispensable. Ça fait gagner du temps, n’est-ce pas ?— C’est justement le temps qui nous fait défaut ce matin, hélas.— Bon ! Puisqu’il le faut, allons-y. Mais attention, je suis une fille sérieuse. Il faudra que je révise ce que j’ai appris et que j’approfondisse mes connaissances.— Voilà de bonnes résolutions. Tandis que je nourris Sekhmet, Gwendoline prépare le petit déjeuner. Après l’avoir pris, nous allons dans la salle de bains. Tandis que je me rase, elle se brosse les cheveux. Elle m’aide à mettre un nouveau pansement. — Cela ne te fait pas trop mal ?— Non, ça tire un peu parfois, mais rien de plus.— Comme je n’ai pas à aller à la fac ce matin, si cela ne te dérange pas, je vais t’accompagner à la bibliothèque avant de rentrer.— Au contraire. C’est donc de concert que nous allons à mon travail. Nous passons par le laboratoire photo pour y déposer les pellicules prises la veille. Quand nous arrivons à la bibliothèque, Dominique est déjà là. Après avoir échangé une bise avec sa sœur, elle se suspend à mon cou pour une baiser sensuel. Quand nos lèvres se séparèrent, Gwendoline dit à sa sœur : — J’ai quelque chose à t’avouer.— Quoi donc ?— Hier chez Bernard, j’ai fait le ménage pour faire disparaître les derniers bouts de verre du vase.— C’est très bien Gwendo, mais…— Laisse-moi finir. J’ai donc passé l’aspirateur dans la chambre et sous le lit j’ai trouvé, par hasard, les planches avec tes photos. En entendant ça, les joues ...