7 juin-14 juin
Datte: 03/11/2018,
Catégories:
fh,
ffh,
jeunes,
alliance,
Collègues / Travail
vacances,
plage,
noculotte,
photofilm,
Masturbation
Oral
69,
fgode,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
... entrejambe, je lui donne une petite claque sur les doigts en disant : — Tttt ! C’est sans les mains. Elle pousse un gros soupir. Je continue mon manège, la faisant languir. Je dois même à nouveau chasser sa main d’une autre tape. Enfin je pars de sa cheville et remonte jusqu’à sa bouche. Nos lèvres et nos langues se rejoignent. Pendant ce baiser je commence à lui caresser un genou et remonter à l’intérieur des cuisses. Gwendoline s’agite. Je vais lui caresser un peu le ventre et égarer mes doigts dans ses poils. Partant du haut de sa toison, je fais glisser toute ma main sur son Mont de Vénus. Quand mon majeur se glisse entre ses lèvres et entre en contact avec son bouton, son corps a un soubresaut et elle émet un gémissement qui fait accourir Sekhmet qui saute sur le lit pour regarder ce qui se passe. Lentement, je caresse sa chatte avec toute la surface de ma paume. Mon majeur assurant une partition de soliste. Il passe entre les lèvres, insiste sur le clitoris, s’insinue dans les replis de la féminité de Gwendoline. Son bassin ondule. Ma main est inondée. Quand nos lèvres se séparent, elle dit comme une litanie : — Ne t’arrête pas… Continue… Ne t’arrête pas… Continue…— Tu veux que je continue à te branler, dis-je un peu par provocation, sachant que les mots crus la gênaient quelque peu.— Continue.— Que veux-tu que je continue ? Insistai-je pour lui faire dire ces mots.— Je veux que tu continues à me branler. Après un silence, elle enchaîne, comme si le plaisir de ...
... prononcer des mots tabous, venait s’ajouter au plaisir qui lui enflamme le ventre : — Branle-moi. Oh oui ! Mon bouton. Astique mon bouton… Mets ton doigt dans ma chatte… Je me risque même à en mettre un second. — Vas-y. Enfonce-les… J’ai le con en feu… Oh oui… Continue. Branle-moi… Ses paroles deviennent inintelligibles. Elles se transforment en un son sourd, continu. Son ventre ondoie de plus en plus rapidement. Tout son corps finit par se raidir. Puis elle s’apaise, le souffle court. Elle me regarde : — Que ne m’as-tu pas fait dire ?— Je t’ai simplement fait dire ce dont tu avais envie. Et tu avais envie que je branle, que je t’astique le bouton, que j’enfonce mes doigts dans ta chatte et tu ne voulais pas que j’arrête, parce que tu avais le con en feu, que tu aimais ça et que tu voulais pendre ton pied. C’est bien ça ?— Oh toi alors. Tu n’es qu’un suborneur d’innocentes jeunes filles, dit-elle d’un ton faussement courroucé, avant d’ajouter d’une voix attendrie : mais tu as raison, tu m’avais mis le con en feu et j’aime ça.— Je te fais enrager. Elle se redresse, s’appuie sur son coude et me donne un baiser. — Fais-moi souvent enrager comme ça, je ne t’en voudrais pas. Avisant ma trique toujours au garde-à-vous elle ajoute : — Dis donc, tu as l’air dans des dispositions favorables. Tu dois avoir des idées derrière la tête.— Tu lis dans les pensées.— Pas du tout. Dis-moi ce que tu as derrière la tête.— Tu dois t’en douter un peu.— Je n’en suis pas sûre. Il faut que tu me le dises. Me ...