7 juin-14 juin - Histoires de Sexe

7 juin-14 juin

... voilà pris à mon propre piège. — Tu te fais plus bête que tu n’es.— Assez tourné autour du pot, je t’écoute.— Bon, j’ai envie de te baiser.— De quoi ?— De te baiser. De remplacer dans ta chatte mes doigts par ma bite.— Là, j’ai compris. Nous rions tous les deux. Elle se met à quatre pattes. Après avoir enfilé un préservatif, je me place derrière elle. J’ajuste ma gaule gantée, la prends par les hanches et la pénètre lentement. J’accélère progressivement le mouvement. Gwendo me dit d’une petite voix : — Fais doucement c’est devenu sensible après… après que j’ai pris mon pied. Je fais encore quelques va-et-vient et me retire. J’ôte ma capote et me branle au- dessus de ses fesses. Elle se retourne, remplace ma main par la sienne. Sa main monte et descend le long de ma hampe. Puis Gwendoline ouvre la bouche et tout en continuant le mouvement de sa main, me suce. Je l’avertis que j’arrive à bout de résistance. Elle interrompt sa fellation, pour regarder mon gland violacé, tout en poursuivant sa branlette. Ma semence, en traits blancs, va s’écraser sur sa bouche, son nez et son menton. Elle replonge sur mon sexe pour lécher les dernières gouttes. Tandis qu’elle passe sa langue sur ses lèvres, je la fais se lever et lui donne un long baiser. Après une petite toilette, nous allons nous coucher. Gwendoline, la tête sur mon épaule et moi sombrons rapidement dans le sommeil. Gwendoline et moi n’émergeons que lorsque le réveil sonne. Lorsque nous arrivons dans la cuisine, une bonne ...

... odeur de pain grillé y flotte. Dominique nous y attend devant une théière fumante. Nous l’embrassons avant de nous attabler. Je lui dis : — Merci pour le petit déjeuner. Tu es une mère pour nous. Ce matin, tu as eu moins de mal que moi à émerger.— Parce que, hier soir, je n’ai pas tardé à me mettre au lit, répond Dominique.— Nous non plus, nous n’avons pas tardé à rejoindre le lit, lui dis-je en prenant l’air innocent.— Alors ce doit être après cette phase qu’il y a eu des variantes. Moi c’était celle endormissement immédiat.— Alors que nous avons eu celle de l’endormissement différé, lui concédai-je. Tandis que nous petit déjeunons, je demande à Gwendoline : — Quand passes-tu d’autres examens ?— Je vais en avoir régulièrement pendant quelques temps. Je vous avertirai quand ce sera fini. Je préfère que le sujet ne revienne pas toujours sur le tapis, car je suis plutôt du genre anxieuse. Dominique et moi lui disons que nous ferons comme elle le désire et que nous n’aborderons plus le sujet. Nous quittons la maison après avoir embrassé Gwendoline qui va retourner s’allonger un peu. Dominique lance à sa sœur en passant la porte : — Tu te fatigues de trop le soir.— Un peu d’exercice avant de s’endormir ne peut pas faire de mal. Surtout quand c’est fait avec plaisir. Une fois à la bibliothèque, nous commençons par ranger les livres de la veille. Ceci terminé, je profite que ma chérie passe à portée pour la happer. Je la serre contre moi pour l’embrasser. Je me laisse ensuite aller à ...