1. 7 juin-14 juin


    Datte: 03/11/2018, Catégories: fh, ffh, jeunes, alliance, Collègues / Travail vacances, plage, noculotte, photofilm, Masturbation Oral 69, fgode, pénétratio, fdanus, fsodo,

    ... rien dit d’autre que « Tu as de la chance. » Mais il était flagrant qu’elle avait des vues sur toi. Moi qui la prenais toujours pour confidente, je n’avais rien dit. Elle pensait que la voie était libre. Après qu’elle soit rentrée dans sa chambre, je l’ai entendue pleurer. Ça m’a fait un choc. Parce que j’avais égoïstement voulu garder mon petit bonheur secret. Je rendais ma sœur plus malheureuse que je ne l’avais jamais vue. Pourtant j’aurais du le sentir, elle me parlait trop souvent de toi et Bernard par-ci et Bernard par-là. Mais j’étais tellement contente qu’elle t’apprécie que je n’ai pas compris. Pour Maman non plus, je n’ai rien senti venir. Pourtant, c’était pareil. Elle aussi, n’avait que des paroles élogieuses à ton égard. Elle n’était plus la même depuis notre premier dîner. Elle était beaucoup plus gaie, détendue. J’en étais contente. Et hier soir, quand je suis rentrée de la danse, elle était… métamorphosée, rayonnante. Et quand elle m’a dit que Grand-mère lui avait téléphoné. Je n’en ai pas cru mes oreilles. D’habitude, Maman est toujours effondrée après les appels de Grand-mère. J’ai parlé avec Maman, hier soir. Bien sûr, elle ne m’a pas dit qu’elle avait fait l’amour avec toi. Mais elle m’a aussi fait son récit. Sa rencontre alors que tu repartais de peur de gêner. Ta présence lors du coup de téléphone. Sa crise de larmes et son désespoir. Comment tu avais essayé de la réconforter. Pour la suite, son récit est visiblement lacunaire. Donne-moi quelques ...
    ... explications sur la façon dont vous en êtes arrivés à…— À coucher. Je lui fais le récit le plus honnête possible de ce qui c’est passé depuis le moment où sa mère s’est lancée dans son discours sur le vide de sa vie, jusqu’au moment où je la prends sur mes genoux. En passant par le moment où elle se réfugie dans mes bras pour pleurer, le baiser, la robe. — Tu ne te pardonnes pas ce que tu considères comme une faiblesse. Et tu ne veux pas laisser aux autres l’occasion de le faire non plus. Tu vas bientôt me souhaiter bon vent et espérer que je rencontre quelqu’un de mieux que toi ? Avant que je ne puisse répondre, elle enchaîne : — Mais tu ne te débarrasseras pas de moi comme ça. Je la regarde, incrédule. — Moi aussi, j’ai des choses à te dire. C’est vrai que j’aurais préféré que la journée d’hier soit différente. Mais je t’aime. Et tu vois, malgré tout, ces dernières vingt- quatre heures me confirment dans l’idée - quoique tu en penses - que tu es quelqu’un de bien. J’ouvre la bouche, pour répondre. Mais elle ne m’en laisse pas l’occasion : — Toi, tu as été le procureur, moi je serai l’avocate. Tu te reproches d’avoir couché avec ma mère. C’est vrai. Ce n’était pas dans l’esprit du playboy, du Don Juan ou du gigolo, pour ajouter un nom à un tableau de chasse. Au départ, tu avais en face de toi quelqu’un en complet désarroi, en pleine crise de désespoir. Je sais de quoi je parle, j’ai plus d’une fois surpris Maman dans cet état là. Et tout comme moi, tu as voulu l’aider. Tu n’as pas ...
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