1. 7 juin-14 juin


    Datte: 03/11/2018, Catégories: fh, ffh, jeunes, alliance, Collègues / Travail vacances, plage, noculotte, photofilm, Masturbation Oral 69, fgode, pénétratio, fdanus, fsodo,

    ... Ce n’était que furtivement que je pouvais vérifier si elle portait ce que nous appelions son truc ou son machin ou la chose et s’il était bien en place. Mais le samedi suivant, j’ai réussi à chiper la clé d’une chambre de pionne inoccupée parce que trop loin des dortoirs. Le dimanche, ses parents l’ont ramenée tôt dans l’après-midi. Je lui ai montré ma prise, nous sommes passées prendre son truc… Je l’interromps pour demander : — Où le dissimulait-elle, quand elle ne l’avait pas avec elle ?— Dans la doublure de sa valise. Elle l’a pris avec elle à l’endroit habituel et nous avons filé jusqu’à la chambre. La porte fermée, la main sous sa jupe, j’ai manœuvré son machin. J’ai fini par trouver que sa culotte était gênante. Aussi, je lui ai dit de se déshabiller. Je pensais qu’elle allait simplement quitter son slip, mais elle a tout retiré sauf ses socquettes. C’était une belle fille. Elle avait une poitrine plus forte que la mienne. Ses tétons se dressaient. J’ai tendu les mains et j’ai caressé ses seins, tout en pinçant un peu les bouts. Elle avait l’air de bien apprécier. Elle a fini par se renverser sur le lit. Je me suis installée à ses cotés. D’une main, je continuais de m’occuper de sa poitrine, tandis que de l’autre je reprenais le contrôle de son truc et lui caressait le bouton. Elle a ouvert ses cuisses en grand et son bassin s’est mis à onduler. À un moment, elle m’a regardée droit dans les yeux pour me dire :— Tu dois te caresser toi aussi pour savoir aussi bien t’y ...
    ... prendre. Sa réflexion m’a tétanisée. Je restais immobile. D’une voix suppliante elle m’a dit : — Oh non ! Ne t’arrête pas. C’est trop bon. J’ai repris mes caresses. Après avoir gardé le silence quelques instants, je lui ai répondu d’une petite voix : — Oui, ça m’arrive.— Souvent ? Me demanda-t-elle.— Une ou deux fois par semaine peut-être.— Pas plus souvent ces derniers temps ? Insista t-elle. J’ai du rougir un peu quand j’ai admis : — Oui, un peu. Elle a enchaîné : — Moi aussi. Tous les jours. Elle ne dit plus rien jusqu’à ce qu’elle ait joui. Après avoir repris ses esprits, elle me regarda de nouveau droit dans les yeux pour affirmer : — Je suis sûre que ta culotte est mouillée. Je n’ai rien dit, mais j’ai senti que je rougissais un maximum. Prestement, elle a glissé sa main sous ma jupe. J’ai étouffé un cri quand elle a touché mon entrecuisse. Elle s’est exclamée joyeusement : — J’ai gagné. Mon fond de culotte était bien mouillé. Elle a enchaîné que l’on ne pouvait me laisser ainsi. Elle a entrepris de me déshabiller. Je me suis sentie gênée. J’ai un peu protesté. Elle m’a dit d’un ton assez condescendant : — Je croyais que tu n’étais plus une petite fille. Cela m’a piquée au vif. J’ai répliqué : — C’est parce que tu tirais trop fort sur les boutons. Tu allais tout arracher. Elle me répondit qu’elle allait faire plus délicatement et se remit à la tâche sans que j’ose rien dire de plus. En moins d’une minute, je me suis retrouvée dans la même tenue qu’elle. J’étais comme ...
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