7 juin-14 juin
Datte: 03/11/2018,
Catégories:
fh,
ffh,
jeunes,
alliance,
Collègues / Travail
vacances,
plage,
noculotte,
photofilm,
Masturbation
Oral
69,
fgode,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
... paralysée. Elle s’est assise sur le lit en me demandant si je ne m’asseyais pas aussi. Je suis venue m’asseoir à côté d’elle, un peu raide. Elle m’a renversée sur le lit et a commencé à me caresser à son tour. J’étais tendue. Je serrais inconsciemment les genoux. Elle m’a demandé si j’avais envie de faire pipi. Je lui ai répondu que non. Je me suis alors rendue compte que je serrais les cuisses. Pour ne pas avoir d’autres réflexions, je me suis forcée à les écarter, lui dévoilant ainsi toute mon intimité. C’était la première fois que je m’exposais ainsi et que d’autres doigts que les miens s’y aventuraient. Je me suis progressivement détendue sous ses mains attentionnées. Mon bassin a été pris d’un mouvement que je ne pouvais contenir. J’ai fini par exploser quelques secondes avant que ne retentisse la cloche du dîner. On s’est rhabillées à toute vitesse. Nous sommes sorties prudemment et avons foncé au réfectoire. — Vous n’avez pas dû en rester là, subodore Gwendoline.— À dire vrai… Non. Nous avons pas mas mal utilisé la chambre inoccupée durant le reste de l’année scolaire. Lorsque nos emplois du temps et la nature féminine nous le permettaient, nous nous y retrouvions. Cela ne nous empêchait pas, quand l’occasion se présentait, d’avoir les mains baladeuses. Son truc lui a fait de l’usage.— N’as-tu pas été tentée de t’en servir ? Lui demandais-je.— Pas vraiment. Je ne voulais pas me faire déflorer par un morceau de bois.— A-t-elle continué à se le mettre dans le sexe ...
... durant la journée ? Interrogea Dominique.— Oui. Et pas seulement.— Que veux-tu dire ? reprit Dominique Anne rit encore avant de répondre : — Une fin de semaine, Maman était venue me chercher. Mais elle m’avait laissée seule à la maison le dimanche. En furetant dans le grenier, j’étais tombée sur une malle fermée. Cela m’avait intriguée. J’ai été fouiller dans les affaires de Maman et j’ai trouvé la clef. J’ai ouvert. Dedans, il y avait des livres. Des livres à ne pas mettre entre toutes les mains. Il y avait le marquis de Sade, Guillaume Apollinaire, Pierre Louys, Mirabeau et d’autres moins connus ou anonymes. Certains étaient illustrés, les uns de dessins, d’autres de photos. Je les ai feuilletés le reste de la journée. Quand j’ai vu s’avancer l’heure, j’ai refermé la malle, mais pas à clef. J’ai été remettre le trousseau à sa place. J’avais gardé un petit livre illustré pour l’emmener au pensionnat malgré les risques. Ces lectures m’avaient ouvert des horizons. Un jour de la semaine suivante, avant le dîner où nous avions du temps libre toutes les deux, j’ai montré l’ouvrage à mon amie. Elle n’avait jamais rien vu de tel. Quand je lui ai expliqué ce que je voulais faire le jeudi suivant, elle n’était pas vraiment partante.— Qu’était-ce, interrompt Gwendoline.— Soit patiente. J’y viens. Je disais donc qu’elle n’était pas vraiment partante. Moitié cajolerie, moitié menaces, je l’ai convaincue.— Menaces ? M’étonnais-je.— Voilées. J’avais quelques moyens de pression.— Elle aussi, ...