1. 7 juin-14 juin


    Datte: 03/11/2018, Catégories: fh, ffh, jeunes, alliance, Collègues / Travail vacances, plage, noculotte, photofilm, Masturbation Oral 69, fgode, pénétratio, fdanus, fsodo,

    ... déclare qu’elle commence à avoir une crampe et qu’elle préfère rentrer avant de ne plus pouvoir pédaler. Nous continuons ses filles et moi la promenade. Nous faisons, pour boire, une pause une demi-heure plus tard. Mon vélo est le seul à avoir des sacoches c’est moi qui transporte l’eau. Chacun se désaltère. Avant de remonter sur les machines, profitant que nous soyons dans un secteur désert, Dominique entreprend de retirer son soutien-gorge en disant : — J’ai trop chaud. Je ne peux plus le supporter. Elle me le tend en me demandant de le mettre dans une sacoche. Gwendoline fait de même. En prime, elle retire aussi son slip, arguant aussi de la chaleur. Dominique, qui ne veut pas être en reste, l’imite. Nous repartons. Un peu loin Gwendoline s’arrête pour déboutonner complètement le devant de sa robe en déclarant qu’elle a encore trop chaud. Dominique s’inquiète : — Quelqu’un pourrait passer.— Il ne passe jamais personne par ici. Je me reboutonnerai vite fait en cas d’importun. Elle ajoute en pouffant : — Tu t’affoles à l’idée que nous pourrions être vues dans ce coin désert. Mais à Paris, dans les jardins du Trocadéro, ce n’était pas un problème. Dominique rit aussi et ouvre sa robe également. En disant : — Tu as raison, soyons à l’aise. J’ai photographié toute la scène. Je m’arrange de temps en temps pour prendre un peu d’avance pour prendre des photos, alors qu’elles pédalent vers moi. Le spectacle est charmant. Nous faisons une dernière halte avant de rejoindre une route ...
    ... départementale. Dominique et Gwendoline s’allongent dans l’herbe. Je sors mon appareil pour faire de nouveau travailler l’obturateur. Chacune rivalisant avec l’autre pour prendre des poses osées. Hélas, avant que les choses ne dégénèrent, le bruit d’un tracteur approchant les fait prestement se rajuster. Nous rentrons tranquillement à la maison. Soir : concert ; piano et piston. Anne nous accueille. Le temps pour les promeneurs de se doucher, car nous avons quand même bien sué et nous passons à table. Andrée a préparé un repas froid avant de partir pour Cherbourg. Il est comme celui du midi, délicieux. En aidant à débarrasser la table, je profite d’un moment où je suis seul avec Anne pour vérifier que toute ma petite installation est bien en place. Elle accepte de bonne grâce ce contrôle technique. Ayant vu un piano dans le salon, je demande à Anne si elle veut bien jouer un peu. Elle est ravie que je lui demande. Elle s’installe devant le clavier. Elle commence par deux œuvres de Chopin : la Sonate No2 op35 en si bémol mineur et le Berceuse op57 en ré bémol majeur. Elle joue remarquablement bien. Nous l’applaudissons chaleureusement. Elle continue par deux de Ludwig van Beethoven : Sonate No14 op27 No2 en do dièse mineur "Clair de lune" et Rondo a capriccio op129 en sol majeur "Colère à propos d’un sou perdu". Quand elle se lève après ce quatrième morceau, je la félicite : — Bravo ! C’était sensationnel. Tu pourrais te produire en concert. Depuis combien de temps joues-tu ?— ...
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