7 juin-14 juin - Histoires de Sexe

7 juin-14 juin

... J’ai commencé toute petite. En pension aussi j’avais des cours en plus du programme normal. Après mon mariage, mon beau-père qui trouvait que je me débrouillais, a insisté pour que je continue à prendre des cours. Aujourd’hui encore j’ai un professeur qui vient trois fois par semaine et je joue un peu tous les jours.— Un peu ! Au moins deux heures par jour, s’exclame Gwendoline.— Et le professeur vient du conservatoire national, renchérit Dominique.— Et le résultat est à la hauteur. Et vous les filles au violon et à la flûte quand faites-vous un récital, dis-je.— Nous ne sommes pas aussi douées que Maman, répond Dominique— Vous ne vous défendez pas mal. Si vous travailliez un tout petit peu plus vous feriez encore des progrès, intervient Anne.— Il faudra attendre Paris. Nous n’avons pas nos instruments ici. Si nous voulons profiter de la journée de demain, il serait peut-être temps d’aller se coucher, conclut Dominique. Tout le monde est d’accord. Nous montons à l’étage. Vient pour moi à nouveau l’heure du choix. Même s’il est déjà fait, je trouve cela toujours aussi peu plaisant. Je dis : — Ce soir, je vais essayer la salle de bains d’Anne. Cette dernière fait la bise à ses filles et rentre dans sa chambre J’embrasse Dominique. Je fais de même avec Gwendoline avant de rejoindre la chambre d’Anne. Je lui glisse à l’oreille : — Demain, je crois bien que j’irais tester ta salle de bains.— Alors vivement demain, me répond-elle en faisant voleter sa robe. Cela me permet de ...

... constater qu’elle n’a pas remis de culotte depuis le retour de promenade. Anne m’attend avec pour tout vêtement, celui que je lui ai confectinné. Elle me dit : — Je voulais aller me doucher avant que tu ne viennes. Mais il y a un problème technique.— Ah bon ! Cela risque d’être difficile de faire venir un plombier à cette heure, un dimanche. Je veux bien essayer de regarder si je peux faire quelque chose.— Espèce d’hypocrite ! Je prends un air outragé pour répondre : — Moi hypocrite ! Comment peux-tu dire cela… Ha ! Ça me revient. Ce doit être cette petite pièce métallique qui manque. Je plonge la main dans ma poche et en sors une clef. Je passe derrière Anne, ouvre le cadenas et le retire. — Voilà, je crois que j’ai résolu le problème. Il est inutile de se mettre en quête d’un ouvrier. Elle me donne un baiser avant de se diriger vers la salle de bains : — Bravo. Si tous les hommes de l’art étaient aussi rapides et efficaces dans leurs interventions, ce serait formidable. Je vais chercher mes affaires dans ma chambre officielle, avant de me dévêtir. Je rejoins Anne dans la salle de bain. Comme je rentre, elle entre dans la baignoire. Je la rejoins pour une douche commune. Une fois sorti, je lui demande : — Alors ce gage n’a pas été trop méchant ?— Mis à part le vélo, non. Cela m’a reporté vingt ans en arrière. Si la chaîne qui passe entre les fesses avait été plus fine, c’eût été mieux.— Je sais, mais je n’avais pas le matériel ad hoc sous la main. La couture aussi laisse à ...